C’est sur le futur de votre enfant

LA MISE À NU DES MYTHES SUR
L’ORIENTATION SEXUELLE

Si vous n’êtes pas un suède ou vous n’habitez pas en Suède, cliquez ici pour quelque fond sur ce site.

C’est mon espoir que les informations qui suivent parlent à vous avec une franchise qui n’a l’intention d’offenser personne.  C’est la préoccupation sur nos enfants et petits-enfants que me contraint de révéler la vérité comme j’ai la connu.


PRÉAVIS !
Ce site n’est pas pour les enfants.  Quelques-uns des matériaux présentés ici sont pris du site officiel de l’organisation principale homosexuelle en Suède, le RFSL, qui est financée généreusement avec l’argent des payeurs de taxes.  Les matériaux sont d’une nature très obscène et sordide et ils sont exposés ici pour les raisons qui suivent:
1. Ils sont un exemple de ce que nous suédois devons supporter et financer avec notre argent de taxes.  Il se tient comme un exemple d’avertissement de ce que peut arriver à une nation quand un statut privilégié est donné à une sodomie rampante.
2. Ils sont projetés de montrer aux parents la mode de vie de laquelle ils doivent être fortement motivés de sauver leurs enfants.
3. Pour les fonctionnaires de santé intéressés, ils illustrent pourquoi l’épidémie sérieuse suivante transmise sexuellement est juste en train d’arriver.  Comme vous allez voir et comprendre, les différentes formes de practices anales – dans lesquelles plus que deux tiers de homosexuels masculins s’engagent - ont des implications considérables de la santé publique.

N’oubliez pas que la mode dépravée de vie - promotionnée d’une manière tellement proéminente et impudente par le RFSL, pas seulement dans leur site mais dans leurs matériaux disséminés aussi – est quelque chose qui fait partie du curriculum de notre école publique.  Saleté et obscénité abonde comme vous allez constater. Pour la plupart des gens, les matériaux de RFSL sont indubitablement très dégueulasses et répugnants.  Mais pour les enfants vulnérables parmi nous, beaucoup desquels luttent déjà avec problèmes d’identité de genre, quand ils rentrent de l’école et vont au site du RFSL, les matériaux de nature pornographique ne manquent pas du tout.

Mais si vous voulez d’éviter complètement les références aux matériaux du RFSL, vous trouveriez des amples préavis. 


Des nouvelles récentes:
Un des points du programme pendant le Festival de l’Orgueil à Stockholm l’été dernier était un panel de discussion consistant de dirigeants de la plupart de partis politiques dans notre pays. Un des sujets d’intérêt spécial pour le RFSL, mais pas une question d’intérêt pour les suédois en général, était si les jeunes garçons doivent être forcés de mettre la jupe de filles quand ils vont au préscolaire ou à l’école élémentaire. Ce n’est pas une coïncidence qu’un tel sujet autrement un point stupide pour les dirigeants des partis de débattre, est très proche du cœur du RFSL. Parce que la communauté homosexuelle sait très bien que leur homosexualité commençait typiquement avec la confusion de genre dans un très bas âge. Et en introduisant un telle programme très tôt à l’école, les garçons vulnérables pouvaient un jour devenir des homosexuels eux-mêmes et gonfler davantage les rangs du lobby homosexuel avec tout l’accroissement associé en pouvoir, argent et influence. Vous pouvez lire de plus sur telle confusion de genre (l’origine de la plupart de la homosexualité) sous Mythe 2 ci-dessous.

Introduction
Je m’appelle Ron Linden.  Je suis un citoyen suédois de Skåne, la province la plus méridionale du notre pays.  Je reçus mon degré d’ingénieur de l’Université Chalmers à Gothenburg en Suède, suivie de la recherche en Californie où je reçus mon Ph.D. en 1982 de l’Université de Californie, Davis.  Mais depuis peu d’années en arrière ma recherche a été dans un champ très différent de la profession d’ingénieur.  Ma recherche récente a été dans le champ de la Science de Comportement.  Particulièrement, j’ai fait des recherches dans le domaine d’homosexualité et des racines et origines de cela.  Et ce que j’ai appris vint comme une vraie surprise pour moi.  Elle est contraire à les convictions ténues communément de la plupart des gens et souvent court contrairement à ce qu’est considéré “correct politiquement” dans nos jours.  Elle m’a transformé d’étant une personne indifférente sur cet question à devenant un homophobe (voyez la note en bas de page ci-dessous) qui craint fortement l’impact dévastateur sur nos enfants de la part des activités de l’homolobby dans notre pays.  Par conséquent je sens une obligation de partager avec les autres – et particulièrement avec les parents et grands-parents – ce que j’ai trouvé.  Je me sens particulièrement obligé d’exposer trois mythes tenus communément.  Tenir cette information importante serait erroné moralement et priverait les parents et grands-parents de la connaissance importante sur comme ils peuvent prévenir un résultat homosexuel dans leur progéniture.  Spécialement les pères jouent un rôle très important dans le développement de masculinité dans leurs fils et ainsi prévenir un résultat homosexuel quand leurs fils entrent la puberté. Ce de laquelle je vais parler est basé seulement sur des études et rapports de recherche et scientifiques.  Avec l’exception de dernier sidebar link, elle n’est pas basée sur d’attitudes religieuses ou morales sur ce sujet.  Mon accentuation sera sur l’homosexualité parmi les hommes où l’origine et développement sont bien documentés.  Le développement du lesbianisme parmi les femmes n’est pas également bien compris.  Par conséquent, cette présentation est projetée pour les parents et grands-parents et non pour des gens lesquels ont déjà développé leur homosexualité.
De nouveau, notez s’il vous plaît: Cela n’est pas pour vous si vous avez déjà acquis une orientation homosexuelle.

Note en bas de page:
Il y a deux genres de homophobes (peur de l’homosexualité). La première genre sont ces qui ont peur de l’impact que le plaidoyer et la popularisation homosexuelle dans les media aura sur nos enfants. Ce genre de homophobes comprend beaucoup des gens dans notre pays.
Le second genre d’homophobes sont ces qui ont peur et se sentent menacés de l’homomafia/l’homolobby. La menace pouvait être de genres diff
érents. Certains ont peur parce que l’homomafia présente une menace physique pour eux et leur famille comme nous allons voir avec les exemples. Autres ont peur des menaces d’une nature non violente. Il pouvait avoir de peurs de la part des pasteurs religieux que le support financier du gouvernement disparaîtra (sauf s’ils ouvriront leur appartenance et clergé aux homosexuels) comme nous allons voir. Ou il pouvait avoir des businessmen qui ont peur de perdre leur clients grâce à les intimidations de l’homomafia. Ou il pouvait avoir des gens professionnels de carrière de tous les professions, ayant peur d’être étiquetés des homophobes par les groupes de pression homos ou dans les media.
La plupart des homophobes de la première genre sont aussi typiquement d’homophobes de la seconde genre, puisque ils ont peur d’harcèlement s’ils devriont exprimer leurs opinions dans un environnement publique. (Les gens qui ne sont pas homophobes de la première gente se sont appelés homophiles et comme tels ils ne sont jamais homophobes de la seconde genre aussi parce que, naturellement, ils ne sont jamais menacés ou intimidés de l’homomafia). Les gens qui sont homophobes des toutes les deux genres (beaucoup moins dans le nombre) sont eux qui se préoccupent de l’impact de l’agenda homosexuelle sur nos enfants et aussi se préoccupent de leur sécurité et/ou carrière ou affaires, parce qu’ils osaient d’exprimer leur opposition. Il y a naturellement des zones sur l’ombre entre d’être un homophobe ou un homophile de chaque genre.

Pas pour les enfants
Aussi, ce que je présenterai ne sont pas de matériaux appropriés que les enfants lisaient.  Les principes sur lesquels vous apprendrez doivent être appliqués aux vos enfants mais les informations elles-mêmes sont projetées seulement pour vous comme un parent. Ma présentation est divisée dans les parties qui suivent:

1.  Quelle orientation sexuelle est-elle la plus désirable pour votre enfant ou petits-enfants?  Sans l’information appropriée sur la mode homosexuelle de vie, et les practices associées avec cela, vous ne serez capable de décider à quel dégrée vous voulez aller de promouvoir le développement d’une de deux orientations (homo ou hétéro).  

2.  Comment pouvez-vous, pendant les années formatives de votre enfant, préparer le plan pour l’orientation sexuelle que se développera quand la puberté se présentera? 

3.  Est-ce qu’un enfant est né homosexuel ou hétérosexuel? Est-elle dans les gènes?  


TABLE DES MATIÈRES

L’introduction et les trois parties (mythes) sont divisées dans les sub-parties qui suivent (en cliquant sur chaque des parties ou sub-parties vous serez mis directement à ce sujet):  

Introduction
Références
Littérature gratuite
Tour de Suède


Mythe Numéro 1: Les modes hétérosexuelle et homosexuelle de vie sont également sains et désirables.
1. Expectative moyenne de vie
2. Utilisation des drogues illégales
3. Fréquence de suicide
4. Fréquence de pédophilie
5. Maladies transmises sexuellement (MTS)
6. Infidélité avec le partenaire
7. Acceptation sociale et religieuse
8. Concentration anormale sur sexe
9. Problèmes rectaux

Mythe Numéro 2: Vous ne pouvez pas influencer sur votre enfant en ce qui concerne l’orientation sexuelle qu’il va choisir quand la puberté arrive.
1. Les résultats convaincants de la recherche extensive sont supprimés par l’homolobby
2. Rapport de recherche par Bieber et al (RÉF. 4)

3. Conclusions à déduire
4. LA PARADE DE L’HONTE
5. Encore plus sur le rôle du père
6. Le rôle commun de deux parents
7. Attaques de l’homolobby aux États-Unis contre les gens qui ne sont pas d’accord avec leur agenda
8. Attaques de l’homolobby en Suède contre les gens qui ne sont pas d’accord avec leur agenda

Mythe Numéro 3: L’orientation sexuelle est une chose héréditaire.  Elle est déterminée par les gènes.
1. La partialité/tissage des résultats de recherche par l’homolobby
2. Kallman
3. Bailey-Pillard (1991)

4. Bailey-Dunne-Martin (2000)
5. Encore une autre étude fausse (Hamer, Hu, Magnusson, Hu et Pattatucci)
6. Bearman-Bruckner (2001)
7. Simon LeVay (1991)

8. Les hypothèses hormonales prénatales
9. La tendance des “Recherches” homosexuelles récentes


Introduction

Références:
Dans la présentation je référai à trois types de références.

Type 1. Afin de tenir la présentation principale dans les limites, j’ai mis quelques-uns des matériaux de fond en links que vous trouverez dans le left sidebar menu.  Chaque fois que vous voyez un numéro souligné (comme No. 1) vous trouverez des informations additionnelles sur ce sujet en cliquant exactement là-bas dans le link ou en allant au sidebar gauche et en cliquant sur le même numéro là-bas.

Type 2. J’ai utilisé des matériaux des plusieurs livres comme des sources pour la présentation.  Les références à ces livres apparaissent comme "RÉF." (lettres majuscules), suivi par un numéro et ensuite le numéro de page dans le livre où vous pouvez trouver l’information.  La plupart de ces livres ont dans leur part beaucoup des propres références. 

Type 3. Certains des matériaux de source que je considère spécialement significatifs sont référés avec la désignation "réf." (lettres miniscules) suivi par un numéro.  J’utilise aussi ce type de référence aux websites particuliers dans l’internet.  Certaines de ces références, spécialement web pages de RFSL, ont l’habitude d’être prélevés chaque fois qu’elles sont en difficulté par leurs matériaux horribles.  Ainsi, je ne sait pas si un link particulier est courant (i.e. up et running) et a par conséquent “gelé” la page à propos pour vous.  Mais les matériaux que j’ai inclus étaient postés dans le web en mars 2007.  Toutes les références de ce type (type 3) ont un link direct si vous cliquez dans le ref. numéro seulement. Un listing de tous les trois types de références (“Nr”, “REF” et “ref”) peuvent être trouvés en cliquant dans le link en bas du left side bar.

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Littérature gratuite
Si vous êtes de parents ou grands-parents, avec un enfant (ou petits-enfants) sous l’age de 16 ans, vous pouvez recevoir quelques-uns des nos matériaux gratis.  Ces matériaux peuvent être trouvés en cliquant dans le link appelé “Free Literature” en bas du sidebar menu ou sous “Contact” dans le top menu bar horizontal.

Toute la littérature gratuite est dans la langue anglaise.  N’importe quel des matériaux non disponibles à vous gratuitement peut être acheté (par exemple) www.amazon.com.

Contact
Vous pouvez aussi communiquer avec moi en écrivant à moi dans:

Ron Linden
Kungsgatan 12
211 49 Malmö
Sweden

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Le tour à travers la Suède
Nous planifions de visiter plusieurs villes en Suède où nous allons faire disponible notre littérature gratuite.  Voyez notre programme sous le link intitulé “Le tour à travers la Suède” dans le top menu bar.  Nous allons aussi mettre un avertissement dans le journal local quand nous arrivions dans votre ville.  Mais parfois le journal local peut-être n’acceptera pas notre avertissement.  Après tout, nous sommes en train de parler sur l’information que RFSL et leurs sympathisants ne désirent pas que parents et grands-parents savent. 

Note d’ajournement: Le tour était complétée en 2005 et ne sera pas complété par suite des menaces par l’homomafia dans notre pays. Pour d’informations additionnelles sur le tour voyez le link dans le top menu bar intitulé “homolobby ou homomafia?” 

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Commençons maintenant avec le Mythe Numéro 1.

Mythe Numéro 1: Les modes hétérosexuelle et homosexuelle de vie sont également sains et désirables  

Pourquoi est-il nécessaire que nous jetions un regard aux actes homosexuels répandus?
Dans leur livre “Après le bal: Comment l’Amérique conquérra son peur de homos dans les années 90” (New York: Penguin, 1989) – qui est devenu de facto la bible de l’agenda homosexuel – les génies de marketing Kirk et Madsen écrivent (page 146):
Quand vous êtes très différent, et les gens vous haïssent de cela, c’est cela que vous faites: d’abord mettez le pied dans la porte, en étant le plus similaire que possible; ensuite, et alors seulement – quand la seule votre petite différence est finalement acceptée – vous pouvez commencer de se traîner dans vos autres particularités, une par une.
  Vous martelez sur le côté étroit du coin d’abord.  Comme le proverbe dit, permettez le nez du chameau sous votre tente, et tout son corps suivra bientôt.”

Ils continuent (page 155):
“Nous voulons dire la conversion des émotions, raison et volonté du moyen Américain, par un attaque psychologique planifié, dans la forme de propagande nourri à la nation à travers les media.  Nous voulons dire de subvertir le mécanisme de préjudice aux notre propre buts – en utilisant les mêmes processus qui fîtes l’Amérique nous haïr de transformer leur haine dans un chaud regard – s’ils plaisent ou pas cela.”

And Kirk et Madsen expliquent plus loin (page 155-156):
“Dans la Conversion, nous imitons les processus naturels de stéréotype-apprentissage, avec l’effet suivant: nous prenons les bonnes sensations du bigot sur les gars corrects, et nous attachons à eux l’étiquette ‘homo’ ou en affaiblissant ou, éventuellement, en replaçant ses mauvaises sensations vers l’étiquette et le stéréotype antérieur…. Tandis que dans le ‘Coincement’ l’objectif est de montrer un bigot étant rejeté de sa foule à cause de sa préjudice sur les homos, dans la ‘Conversion’ l’objectif est de montrer sa propre foule actuellement étant associée avec homos dans une bonne amitié.  Encore une fois, il est très difficile pour la moyenne personne, qui, par la nature et la formation, presque invariablement sens ce qu’il voit ses collègues sentir,
de ne pas répondre dans cette façon genou-tressaillante à un avertissement suffisamment calculé.”

Et en ce qui concerne la véracité des avertissements, Kirk et Madsen proclament avec arrogance (page 154):
Il ne change rien que les avertissements sont des mensonges.
  Pas pour nous parce que nous les utilisons pour un effet éthiquement bon, d’aller à l’encontre des stéréotypes négatifs qui sont à peu près des mensonges, et beaucoup plus les méchants.”

Bon, ici en Suède le chameau est déjà complètement dans notre tente.  Ici les mensonges sont, en général, déjà avalés de nous les suédois crédules.  Ici le RFSL s’est déjà “traîné dans toutes les particularités un par un”.  C’est seulement en les décrivant que vous (comme parents) serez motivés de sauver votre enfant de telle mode de vie.  Seulement quand vous comprenez que “les avertissements sont mensonges” vous chercherez et trouverez les outils nécessaires de prévenir un développement homosexuel dans votre enfant.

Ainsi, comparons maintenant les deux modes de vie.  Mais établissons d’abord cela - malgré tous les mensonges avertissantes de la part du RFSL et leur supporteurs – les gens homosexuels et hétérosexuels sont d’une valeur égale.  Tous les gens ont une valeur égale.  Nous tous devons être d’accord sur cela.  Toutefois, si nous parlons sur quelle est l’orientation sexuelle désirable pour les individus et aussi pour la société, les opinions are différentes. Il y a ceux qui discuteraient que la mode homosexuelle de vie, avec son absence de tabous et sa liberté de jouir chaque genre de sexe, est la mode de vie la plus désirable. Mais il y a aussi ceux qui croissent que la mode hétérosexuelle de vie doit être préférée, du point de vue du individu et aussi du point de vue de la société.

Comparons par conséquent les deux mode de vie afin que vous, comme parents, pouvez décider vous-mêmes ce que vous croyez est le résultat désiré dans votre propre progéniture et prende action en conséquence.  Puisque nous sommes en train de parler de ce que vous comme parents trouvez désirable, nous allons aborder seulement ce qui est le meilleur pour vous et votre progéniture et pas les impacts sur la société en général (e.g. les coûts médicaux pour les maladies transmises sexuellement, le coût à la société pour l’abus de drogue, comment l’autre recherche médicale a souffert une manque des ressources à cause de la concentration intensive sur SIDA etc.). Une comparaison des deux modes de vie révèle ce qui suit:

Sphère de comparaison

Homosexuelle

Hétérosexuelle

1. Expectative moyenne de vie

55 ans (hommes)

75 ans (hommes)

2. Utilisation des drogues illégales

plus grande

plus petite

3. Fréquence de suicide

plus grande

17.6 (per 100K/an)

4. Fréquence de pédophilie

>3 à >10

1

5. Maladies transmises sexuellement (MTSs)

plus grande

plus petite

6. Infidélité avec le partenaire

plus grande

plus petite

7. Acceptation sociale et religieuse

plus grande

plus petite

8. Concentration anormale sur le sexe

plus grande

plus petite

9. Problèmes rectaux

plus grande

plus petite


Plusieurs des catégories are interdépendantes.  Par exemple: abus de drogue, suicide et maladies transmises sexuellement tous affectent sur l’expectative moyenne de vie.  Et dans un certain environnement social et religieux (avec une basse acceptation de la mode homosexuelle de vie), la fréquence
de suicide parmi les homosexuels déjà établis peut être plus haute, ce qui est compensée d’un pourcentage beaucoup plus bas des homosexuels.  Autrement dit: Le nombre absolu des suicides dans une telle culture est probablement plus bas.   Mais une fois qu’une personne devint homosexuelle, il/elle est plus probable de commettre suicide.  Nous devons aussi rappeler que nous sommes en train de parler sur des moyennes statistiques.  Autrement dit: la probabilité d’un résultat particulier.  Par exemple, il y a des hommes homosexuels sans MTS tandis qu’il y a des hommes hétérosexuels avec beaucoup d’eux.

Le problème racine avec la mode homosexuelle de vie masculine – en dehors des aspects morales et de fidélité – sont les formes différentes du sexe anal.  Cela est très central à leur mode de vie comme c’est témoigné de la concentration sur le “Manuel Anal” (ref. 13) dans le website officiel du RFSL.  Environ deux tiers de tous les homosexuels masculins s’engagent dans différentes formes de rapports et activités anales.  De cette practice suivent plusieurs maladies reliées avec la santé et les problèmes associés.  L’épidémie prochaine pour l’humanité est juste en attendant d’arriver.

Jetons un coup d’œil plus proche sur chacune des 9 sphères de comparaison.

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1. Expectative moyenne de vie.
Les 75 années dans la table pour les hommes hétérosexuels sont basées actuellement sur les statistiques des États-Unis pour tous les hommes.  Et je ne pouvais trouver aucune statistique directe pour les hommes homosexuels, probablement à cause du problème historique de classification des hommes comme homosexuels dû au stigma qu’était associé avec une telle mode de vie.  Néanmoins, je trouvai deux sources séparés pour une vie d’un intervalle de 20 années plus courte pour les hommes homosexuelles: réf.1 (Rapports Psychologiques (2005; 96:693-697) et réf.2 (1997; Journal International d’Epidémiologie 1997; Vol. 26, 657-61) auquels tous les deux est fait référence dans réf.3 (Une autre étude encore confirme l’expectative de vie du homo 20 ans plus courte).

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2. Utilisation des drogues illégales
Nous devons aller au propre website du RFSL seulement de comprendre comment ordinaire est l’utilisation des drogues illégales parmi les homosexuels.  S’il y a une organisation dans notre pays qui pouvait être considérée représentative de la communauté homosexuelle, cela doit être le RFSL.  Après tout, ils sont une organisation que reçoit régulièrement des quantités généreuses de l’argent des payeurs de taxes du notre gouvernement de financer les activités telle que leur website et autre programmes différents de recrutement.  Jetons un coup d’œil au leur website ici (réf.4).  Ici vous pouvez voir vous-même une liste des drogues illégales les plus communes avec une description de comme utiliser une drogue particulière.  Prenez par exemple l’Ecstasy (de la façon qu’ils mal écrivent le mot Ecstasy) qui est une drogue très prévalente dans la scène sociale homosexuelle.  La recommandation donnée pour son utilisation est: “Buvez de l’eau régulièrement mais pas plus qu’une moitié de litre chaque heure”.  Et ensuite ils ont des autres recommandations sur comme utiliser l’amphétamine, cocaïne, cristal méth, GHB, LSD et ainsi de suite.  J’ai cherché les websites des plusieurs autres organisations dans notre pays – l’Organisation Nationale des Automobilistes, la Société Suédoise pour la Prévention de Cruauté aux Animaux et plusieurs, plusieurs autres organisations – mais pas une seule d’eux donnait recommandations aux leurs membres comme utiliser des drogues illégales.  Ainsi, la question évidente est: “Pour quoi y’a t-il une telle corrélation forte entre les drogues illégales et la mode homosexuelle de vie?”

La réponse s’est trouvée dans un autre des web pages du RFSL.  Je dois admettre que j’ai hésité d’inclure ces matériaux.  Ils sont vraiment répulsifs à la plupart des gens normaux.  Mais après tout, ils sont du propre website du RFSL et ils expliquent mieux que les mots pourquoi les drogues illégales sont si prévalentes.  Ici, dans cette page du RFSL (réf.5) ils écrivent:

“Lapement du cul - Jantage
Pour le participant non initié, la réunion entre la langue et le trou du cul est un mystère, pénible et même répulsive.  Cependant, pour le participant expérimenté c’est le ciel dans la terre.  Une des positions préférées parmi janteurs est quand un d’eux s’assoit avec hanches au-dessus la face de l’autre et écarte ses joues à part.  En faisant cela, le janteur peut arriver avec sa langue partout."

Autrement dit: “Pour le novice c’est répulsif mais pour le participant expérimenté c’est le ciel dans la terre”.  Et ce seul fait - que c’est répulsif pour le novice – explique pourquoi les drogues illégales sont utilisées convenablement de faciliter la practice.  La même chose est pour plusieurs d’autres activités dans lesquelles s’engagent les homosexuels (par exemple le soi-disant “poing” etc.).  C’est bien reconnu que les hommes plus âgés expérimentés aiment d’initier les hommes plus jeunes et les garçons au “mystère” des différentes pratiques sexuelles. Comme quand notre Juge de la Cour Suprême Leif Thorsson chercha et paya pour les faveurs homosexuelles d’un jeune garçon de 20 ans d’âge à Stockholm (No.1).  Nous regarderons davantage à ce phénomène plus tard.  Tandis que vous lisez le website du RFSL vous comprenez qu’il y a une progression dans les pratiques homosexuelles.  Les actes vils et dépravés d’hier ne suffiront aujourd’hui.

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3. Fréquence de suicide.
Nous savons que le taux de suicide est 17,6 par 100.000 des tous les citoyens par ans (4-5 fois plus haute parmi les hommes que parmi les femmes).  Il est tout à fait compréhensible qu’il n’y a pas de statistiques fiables sur la fréquence de suicide parmi homosexuels.  Plusieurs suicides sont parmi des jeunes gens qui sont en train de lutter avec une homosexualité naissante parce que (tragiquement) on n’a pas donné à ceux-là l’aide et l’opportunité de développer leur masculinité.  Ainsi, il est difficile de savoir la cause réelle de suicide parmi des tels adolescents.  Cependant, des études ont été conduites sur les tentatives manquées de suicide où la personne survivait (naturellement) et la cause de la tentative pouvait être vérifiés (réf.6; "La relation entre le risque de suicide et l’orientation sexuelle: Résultats d’une étude basée en population").  Toutes les études indiquent définitivement un taux beaucoup plus haut de suicide tenté parmi les hommes et adolescents homosexuels. Quelques-unes des causes fondamentales du trauma émotionnel associé avec les suicides des homosexuels sont:

1). Quand un garçon “pré-homosexuel” entre la puberté il a éprouvé souvent beaucoup de rejection des ses pairs masculins.  Pendant les années formatives il se sentait souvent comme s’il n’était pas comme les autres garçons.  Cela a causé déjà un trauma émotionnel pour lui.  Il a besoin d’urgence de l’aide par un autre homme (ou hommes) d’être affirmé dans sa masculinité.  Plutôt, ce qu’il reçoit souvent est la propagande du RFSL qui le tire plus profondément et plus profondément dans la mode homosexuelle de vie.

2). S’il alors ”sort” comme un homosexuel il éprouve souvent de la méprise et rejection additionnelle des plusieurs gens.  Il peut être rejeté même des membres de la propre famille.  Même plusieurs membres d’église malheureusement ne savent pas comment donner l’aide appropriée.  Mais même avec l’acceptation totale, la plupart des hommes homosexuels ne seront jamais heureux parce qu’ils sentent profondément à l’interiur que quelque chose est incorrecte et anormale. 

3). Quand il ensuite avance dans la mode homosexuelle de vie, il constate qu’elle ne conduit jamais à une vraie satisfaction.  Puisqu’elle est contre la nature, il n’y aura jamais de la satisfaction émotionnelle.  Et ce qui marchait hier, ne satisfera plus aujourd’hui et il avancera typiquement dans des actes de plus en plus dépravés et se sentira encore plus mécontent. 

Il existe une illusion promue de l’agenda homo que la tolérance complète et non réservée et l’acceptation conduira à moins suicides.  Il est possible que le taux (ou la fréquence) lui-même pourrait diminuer un peu.  Mais elle conduit aussi qu’un plus grand nombre des garçons développent l’homosexualité.  Les parents arriveront à la considérer complètement normale et naturelle et ne pas faire ce qu’ils peuvent de la prévenir.  Et bien que la fréquence pouvait diminuer un peu, le fait que beaucoup davantage se tireront dans la mode homosexuelle de vie signifie que le nombre total des suicides augmentera.

Dans ce contexte je veux discuter un peu plus les attitudes appropriées aux homosexuels par les hétérosexuels soucieux et aimables.  Des tous les e-mails que j’ai reçu des mes compatriotes, à travers des contacts dans ce site, un gentilhomme (apparemment un chrétien) écrivit: “N’est-il pas un problème (du point de vue chrétien) que ceux-là qui ont souffert le plus d’un éducation malheureuse (i.e. père absent) seront aussi ceux-là de souffrir la plupart des risques de développer l’homosexualité?  La question sur comme montrer l’amour et souci chrétien à une personne homosexuelle est très difficile”.

Il est évident ce qu’il est dans le cerveau d’auteur.  Quand un adolescent manifeste des tendances pré-homosexuelles, et nous savons (ou avons raison de croire) que cela est enraciné dans une éducation inadéquate, devons-nous n’embrasser pas la mode de vie et la faire plus facile que lui (ou elle) accepte la mode homosexuelle de vie?  Il y a deux problèmes impliqués dans la contribution de l’auteur: a) Nos attitudes et b) La justice de tout cela.

a) Nos attitudes
La réponse (selon mon point de vue) a beaucoup à faire avec si ou non on croit que l’homosexualité est quelque chose héréditaire (quelque chose dans les gènes) et pas conséquent rien peut être faire sur cela.  Le grand nombre des gens (probablement une majorité dans plusieurs pays occidentales) qui se sont trompés d’une telle désinformation – tellement fructueusement promue du lobby homosexuel – croissent qu’ils expriment d’amour et soucis en facilitant et supportant la mode homosexuelle de vie.  Mais ceux parmi nous qui n’acceptent pas l’homosexualité comme quelque chose h
éréditaire et pour laquelle rien ne se peut faire, ont une réponse différenteDès que vous comprenez qu’elle peut être prévenir premièrement, et même être “réparée” dès qu’elle est développée, votre attitude et actions sont très différentes.  Elle n’est plus une question de manifester pitié aux homosexuels malheureux, mais une compassion forte et vraie de la prévenir de se développer dans le petit garçon et la petite fille, et (si déjà développée) d’aider la personne d’échapper des pièges d’une mode privée de vie.

Cette idée est bien communiqué dans le conte touchant sur “Randy” dans le livre de Chuck Colson “La bonne vie”.  Par la permission de l’Association de Prison, ce chapitre (intitulé “La moralité et l’ordre naturel”), a été traduit en suédois et est devenu disponible sur demande.  Voyez le sidebar sous “Littérature gratuite” pour l’information comment le demander.   Si vous comprenez l’anglais, je recommande fortement que vous achetiez le livre (“La bonne vie” par Chuck Colson, le fondateur et le président de la fructueuse Association de Prison).

Ainsi, ce à lequel il se réduit est: Est-ce que vous croyez ou aps que l’homosexualité est quelque chose que peut être prévenue premièrement et “réparée” si elle est développée déjà?  À ce même but, j’ai écrit sur le Mythe 2 et Mythe 3 ci-dessous de vous aider de comprendre pourquoi cela peut vraiment être prévenu.  Et aussi pourquoi il est si important pour le lobby homosexuel qu’une telle information soit retenue de vous.

b) La justice de tout cela
C’est vrai qu’il n’y a pas juste que quelques garçons auront une éducation très saine avec un père (ou un autre mâle proche) lui donnant l’affirmation nécessaire dans le développement de son masculinité, tandis que des autres garçons manquent tragiquement tels modèles de rôle.  Quelques pauvres garçons sont même molestés dans l’enfance, ce que laisse des cicatrices horribles pour toute la vie.  Cette situation tragique doit inspirer des adultes soucieux, des hommes spécialement, de prendre un garçon malheureux “sous ses ailes” et lui donner le support émotionnel qu’un garçon a besoin désespéramment d’un mâle.  Mais à faire cela, vous devez d’abord comprendre que vous pouvez faire un changement.  Vous pouvez vraiment prévenir un développement homosexuel dans un enfant.  De ne pas prendre soin et ne pas tenter de le prévenir, sous la prétention fausse que quelques enfants sont génétiquement destinés de devenir des homosexuels, est la plus grande des tragédies dans notre pays aujourd’hui.  Cela doit être changé de contrarier la désinformation mauvaise disséminée par des groupes comme le RFSL. Ils veulent que leurs rangs soient remplis et ils sont en train de recruter quotidiennement nos jeunes et les plus vulnérables.  Ils savent tout à fait bien que pour chacun nouveau adolescent qu’ils recrutent dans leur rangs, ils obtiennent souvent aussi un grand nombre des membres compatissants de la famille de l’enfant et des leurs amis.  Nombres signifient influence et pouvoir politique.

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4. Fréquence de pédophilie.
La plupart des gens comprennent intuitivement que la fréquence de pédophilie est plus grande parmi les hommes homosexuels que parmi les hommes hétérosexuels.  Le nombre total de la pédophilie est naturellement plus haut parmi les hommes hétérosexuels – et ensuite avec les filles.  Mais la fréquence est beaucoup plus haute parmi les hommes homosexuels avec un facteur d’au moins 3 et peut-être arrivant à 10 ou même plus.  Puisque la pédophilie est encore illégale, chaque fois qu’un crime est examiné il est très difficile de vérifier si l’auteur est un homosexuel ou hétérosexuel.  Un auteur homosexuel est plus probable de cacher sa vraie orientation sexuelle.  Mais nous pouvons regarder le genre de la pédophilie actuelle et ensuite appliquer quelque raisonnement logique.  Les molestations des enfants sont commise presque toujours par des hommes.  Les femmes d’une manière ou d’une autre tendent de ne pas souffrir tellement de cette déviance.  Quand les femmes molestent, et cela arrive, les media tendent d’être plus intéressés dans les aspects tourmentants du crime que l’horreur du viol comme tel. 

Chaque fois qu’un garçon est molesté par un homme, l’acte lui-même est de sa nature un acte homosexuel qu’il l’auteur soit ou pas devenu identifié comme un homme homosexuel en soi.  Pensez seulement des tous prêtres catholiques qui ont molesté des garçons.  Évidemment c’était par quelqu’un avec tendances homosexuelles bien que le prêtre n’admettrait jamais qu’il est un homosexuel.  Également, les molestations de pratiquement toutes les filles sont crimes de pédophilie hétérosexuelle. 

Ainsi, il se suive par conséquent qu’un regard au taux des molestations de garçons sur molestation des filles doit nous donner quelque idée.  Si quelque chose, la molestation des garçons par les hommes est probablement plus sous-rapportée que la molestation des filles par les hommes.  Il faut cependant noter qu’il y a quelques molestants bisexuels qui s’adressent aux garçons et aux filles.  Les statistiques montrent que les molestations des garçons ne sont pas très au-dessous des molestations des filles même qu’il y a entre quelques 25 à 50 fois plus des hétérosexuels que des hommes hétérosexuels dans la population générale. 

Même une issue des media libérales correctes politiquement comme Los Angeles Time devait admettre cela.  Le 25-26 août 1985 ils rapportaient sur une enquête de 2.628 adultes à travers les États-Unis.  Un complet de 27% de femmes et de 16% d’hommes prétendaient d’être molestés sexuellement quand ils étaient des enfants.  Autrement dit, environ 1,7 fois (=27/16) plus des filles que garçons ont été molestés seulement.  Puisque 25/1,7=14,7 et 50/1,7=29,4 il s’ensuite que les hommes homosexuels sont entre 14,7 et 29,4 fois plus probables de devenir pédophiles que les hommes hétérosexuel.  Une analyse simple comme cette est, comme déclaré ci-dessus, basée sur la supposition que tous les molestants étaient mâles.  Néanmoins, dans l’étude du LA Times 7% des filles étaient molestées par une femme et aussi 7% des garçons étaient molestés par une femme.  Ainsi, les molestants mâles étaient 93% en comparaison avec le 100% supposé auparavant du nombre total des molestants.  Par ce “ajustement” ils constatèrent que 4 des toutes 10 molestations dans l’étude étaient commit par homosexuels.  Ainsi, avec 40% divisé par un 2-4% population homosexuelle cela devient entre 10 (=40/4) à 20 (=40/2) fois plus probable que quelque certain homme homosexuel est un pédophile que quelque certain homme hétérosexuel.  Cela se compare aux nombres “non ajustés” ci-dessus (14.7 à 29.4 fois plus probable).  Dans (Myth1-1) cliquant ici vous auriez accès à cela et beaucoup plus d’études sur ce sujet.

Une chose doit être notée.  Beaucoup des statistiques dans les études précédentes sont basées sur une base de données avant qu’il y avait une explosion de l’homosexualité grâce à la popularisation de cette mode de vie par les media.  Aujourd’hui, le pourcentage des homosexuels peut beaucoup dépasser les niveaux historiques de 2%-4% de la population.  Par conséquent, si – comme un exemple - les pourcentages aujourd’hui sont entre 4% et 8% homosexuels et cela est appliqué à la même base de données, les résultats sont réduits par un facteur de 2 de 10-20 fois à entre 5-10 fois de plus haute probabilité de la pédophilie parmi des hommes homosexuels.  Mais un tel calcul est naturellement un artefact.  Parce que, tandis que le pourcentage des homosexuels parmi la population en général augmente, le même fait le nombre total des crimes de pédophilie par les homosexuels.  Par conséquent, la probabilité sera toujours quelque 10-20 fois plus haute qu’un homme homosexuel soit un pédophile qu’un homme hétérosexuel.

À partir de ces nombres il est évident que la plupart des homosexuels ne sont pas naturellement de pédophiles.  Ainsi, être part d’un groupe avec une telle fréquence élevée de pédophilie (tout à fait compréhensible) est souvent dérangeante pour les homosexuels non pédophiles.  Cela est similaire à la situation avec “l’Association Nord Américaine de l’Amour Homme-Garçon” (NAMBLA) qui est un embarras pour plusieurs homosexuels non pédophiles.  Néanmoins, l’acceptation de la pédophilie est lentement mais sûrement gagnant d’acceptation dans notre société décadente.  Ainsi, il ne passera pas beaucoup de temps avant que NAMBLA ne sera plus un embarras. 

Regardons maintenant quelques exemples et ensuite je présenterai ma propre analyse statistique dans une base de données extensive et intéressante.

4:1. Dans une déclaration dans le propre website du RFSL ils expriment d’admiration pour les hommes plus âgés faisant sexe avec jeunes garçons.  Ils écrivent: ”En Grèce antique, l’amour entre les hommes plus âgés et les jeunes garçons était très appréciée.” Pour plus d’information cliquez ici (No.2)

4:2.  Ce n’est pas un secret que la Thaïlande précisément – avec sa prostitution infâme d’enfant – est une telle destination populaire de voyage parmi les hommes homosexuels.  Dans cette page d’information (réf.8) - adressé aux hommes homosexuels – nous lisons pourquoi ce pays est tellement populaire.  Il lit en partie:

Sur la scène homo.
Nous voulons et avons l’intention de faire votre visite à notre communauté homo la plus heureuse possible. Beaucoup des visiteurs sont familiers avec la vie home en Phuket, mais pour ces explorateurs nouveaux, nous avons quelques idées que nous voudrions les partager.

Ne pas oubliez s’il vous plaît que les hommes Thaï que vous allez rencontrer dans les bars ils sont des hommes de travail et votre satisfaction et bonheur est leur revenu. Si vous parlez avec un homme quelque temps dans le bar, achetez lui une boisson, laissez lui un pourboire, ou tous les deux.
Comme partout vous allez trouver beaucoup des sortes d’hommes (Thaï): des hommes masculins, des hommes féminins, des garçons masculins, des garçon féminins et femme-garçons. Et ne soyez pas surpris que quelques-uns des hommes Thaï qui vont avec un touriste homo ils sont directs….
(commentaire: Ils s’appellent des “hommes Thaï” même si plusieurs d’eux sont des garçons encore).

Patong a des bars avec des spectacles de cabaret, dse garçons de discothèque, spectacles, bars et restaurants sexy, et presque tous ont des hommes Thaï qui iraient avec un visiteur. Si un homme Thaï fait appel à vous, découvrez par le capitaine ou propriétaire s’il parle l’anglais. C’est toujours le meilleur d’être tout droit avec l’homme Thaï et le propriétaire du bar. Découvrez ce que l’homme Thaï aime et n’aime pas. Aussi, découvrez s’il va passer la nuit, ou passer un temps plus court avec vous seulement. Si vous ne découvrez pas cela en avance vous pouvez être confus et déçu plus tard. Il y a toujours un frais au bar qui n’est pas négociable si vous voulez d’emmener un homme Thaï travaillant dans ce bar. Il peut avoir quelque flexibilité avec votre paiement au homme Thaï. Cela peut comprendre du sexe seulement, rester une nuit, ou peut-être vous allez avoir compagnie pour toutes vos vacances. N’oubliez pas, s’il vous plaît, il a des amis ou famille, et aura besoin de quelque temps pour sa vie quotidienne aussi. Le paiement peut être à la fin de votre aventure, mais il est plus sérieux de considérer le paiement pendant vous restez ensemble…
Des hommes Thaï différents que vous allez rencontrer ici have comme tous les autres hommes des intentions différentes avec la recherche de contact avec vous. Faire contact de trouver: de l’amour, le plaisir de sexe, l’argent pour leur vie ou une combinaison de toutes ceux-là.
Nous, comme des homos occidentaux sommes normalement très habitués de chercher des contacts sexuels pour le plaisir de sexe seulement ou comme un part de chercher l’amour mais nous ne sommes pas bien préparés que cela peut comprendre de l’argent. Ici cela est une réalité. Et indépendamment si vous voulez ou pas être part de cela, il la fait probablement votre séjour ici dans la communauté homo plus facile si vous êtes mentalement au courant quand vous entrez….
Nous espérons que vous allez avoir un vraiment agréable séjour ici et que nos idées vous aideront de le faire meilleur encore.”

D’ailleurs, après le Tsunami a battu la Thaïlande, la communauté homo était obligés d’ajourner un grand festival homo à Phuket, beaucoup des la déception de plusieurs des nos gens homo.  Quelque chose qui était regrettablement annoncés dans le website du RFSL.

4:3. Les Pays Bas et la Belgique sont des pays bien connus pour la diminution continuellement de ”l’âge de consentement” entre les adultes et les enfants (actuellement 12 ans).  Par conséquent, il n’arrivait pas comme une surprise que Bo Svensson – Juge en Chef de la Cour Suprême Suédoise et un défenseur apparent de la commerce de sexe – semble de prendre l’exemple du système judiciaire belge.  Il la discuta dans une interview où il défendit son copain dans notre Cour Suprême, Leif Thorsson, qui a acheté du sexe d’un jeune garçon étudiant à Stockholm. (No.1).

4:4. Récemment Le Journal de l’omosexualité publia une édition spéciale de leur publication consacrée au ”Débat de paedophilia”.  L’éditeur, John DeCecco serve aussi dans le conseil éditorial de “Paedika: Le Journal de Paedophilia”, une publication néerlandaise qui sponsorise la “recherche de paedophilia” dans une attentive de faire la pédophilie plus acceptable dans la société.  Cette édition spéciale reflète un segment essentiel, influent et croissant de la communauté homosexuelle qui ni cache, ni condamne la pédophilie (RÉF.1 page 63).

Le lobby homosexuel aime de souligner qu’il y a plus des pédophiles hétérosexuels que homosexuels dans la société.  Et si nous parlons sur le nombre total des telles crimes c’est naturellement vrai.  Et un public crédule la laisse comme ça.  Mais si vous regardez le taux (ou la fréquence) de la pédophilie, la pédophilie homosexuelle est beaucoup plus commune.  Avec un facteur probablement à peu près 10.

La raison pour une variation substantielle de l’étude à l’étude est – comme déclaré auparavant – qu’il est difficile de vérifier des nombres exacts dans la base de données.  Cela peut causer quelques gens de discréditer injustement le problème entier d’une fréquence augmentée sérieusement de pédophilie parmi les hommes homosexuels.  Mais toutes les études ont la même claire partialité.

Sûrement, il y a quelques études sur le bas côté du facteur de 10.  Une telle étude (RÉF.1 page 64-65 et réf.9), constatait qu’il y a 36 fois plus des hommes hétérosexuels que homosexuels.  Mais, le nombre des molestations hétérosexuelles était “seulement” 11 fois plus haut que les molestations homosexuelles.  Ainsi, il y avait environ une 3 fois plus grande probabilité (=36/11) seulement qu’un homme homosexuel résultait être un pédophile qu’un homme hétérosexuel.  Une étude encore de 1988 était rapportée dans le “Journal Psychiatrique de l’Université d’Ottawa” par Bradford, Bloomberg et Bourget (réf.10).  Ils trouvèrent qu’entre 19% et 33% de toute pédophilie rapportée est par des hommes homosexuels.  Avec 3% des tous les hommes étant homosexuels, la “surreprésentation” de la pédophilie parmi homosexuels devient entre 6 (=19/3) et 11(=33/3) fois la fréquence des hommes hétérosexuels.

Il est important de se rappeler que dès 1973, quand l’APA déclara soudainement l’homosexualité un comportement normal (Voir Mythe 2 sous-chapitre 1 ci-dessous), les disciplines de la psychologie et psychiatrie semblent d’avoir été inondées par homosexuels avec un agenda distinct.  Il est par conséquent d’être attendu que les études de date récente (et spécialement quand les auteurs eux-mêmes sont homosexuels) sont fortement déformées et manquent souvent d’honnêteté intellectuelle dans le domaine de la “recherche” sur l’homosexualité.  Voyez le Mythe 3 ci-dessous pour quelques tels exemples.  Par conséquent, les études dans le domaine de la pédophilie parmi les homosexuels conduites actuellement ont besoin d’être prise avec réserve.

RÉF.2 pages 121-140 liste plus d’une dizaine d’études et rapports honorables, tous d’eux indiquant à une fréquence appréciablement plus haute de la pédophilie parmi les hommes homosexuels.  Je suggérerai aussi cette référence [ref.38] (Rapport: la pédophilie  plus commune parmi 'homos' – La recherche se prétend de révéler le 'côté sombre' de la culture homosexuelle).  Une analyse détaillée d’une base de données compréhensive (de 12 états aux Etats-Unis entre les années 1991 et 1996) publiée par le Bureau de Justice des Etats-Unis en 2000  (réf.11 et réf.12), suggère un rapport de 10:1 de la fréquence de la pédophilie parmi les hommes homosexuels et hétérosexuels (No.3).

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5. Maladies transmises sexuellement (MTSs)
L’infection HIV a été naturellement en vedette pendant les deux et demi derniers décades depuis sa propagation dans les soi-disant “clubs de bain homosexuels” à New York en 1981 et tôt par la suite à San Francisco.  La pratique extrêmement dangereuse et autodestructive par les hommes homosexuels était la force majeure pressante dans l’épidémie critique et rapide initiale.

À ce temps-la la maladie allait sous le nom GRID (Gay-Related Immune Disorder [Désordre Immune Lié à Homos]).  Mais très tôt la communauté homo – ayant été devenue soudainement très influente – réussit de changer le nom à AIDS [SIDA] (Acquired Immune-Deficiency Syndrome [Syndrome de Déficience Immune Acquise]).  Aujourd’hui chacun sait sur l’épidémie tragique et mondiale HIV/SIDA.

Mais au-delà de HIV/GRID/SIDA il y a plusieurs autres MTSs.  Parmi eux sont HPVs (Papillomavirus Humain), un nom groupe pour quelques 70 types différents de virus.  Une étude des hommes homosexuels et bisexuels à San Francisco montra que HPV était presque universelle parmi les hommes HIV-positifs et un 60% complet parmi les hommes homosexuels et bisexuels HIV-negatifs.  Également, plusieurs autres MTSs (Gonorrhea, Syphilis, Kaposi Sarcoma, etc.) sont beaucoup plus communs parmi les hommes homosexuels.  Aussi Hepatitis B est plus commun parmi les hommes homosexuels.

Il y a deux raisons majeures fondamentales pour la propagation élevée des MTSs parmi les hommes homosexuels:

5:1. La fréquence des rapports sexuels anaux parmi les hommes homosexuels est très haute.  Selon un rapport (réf.13): Croissances dans le sexe incertain et gonorrhea rectale parmi les hommes qui font sexe avec les hommes (HSH) San Francisco, Californie, 1994-1997, Mortalité et morbidité, Rapport hebdomadaire, Centres pour maladies, contrôle et prévention, Janvier 29, 1999,45] le pourcentage du sexe anale parmi les hommes homosexuels (MTS) augmenta de 57,6% à 61,2% entre 1994 et 1997.  On a besoin seulement de regarder le propre “Manuel Anal” du RFSL – exposé remarquablement dans leur website (réf.14) – de comprendre comment répandu est cette practique parmi les hommes homosexuels. 

Et les rapports sexuels anaux transmettent les MTSs à un degré beaucoup plus haut que les rapports sexuels vaginaux.  Dans une étude présentée dans Le Journal de Médicine de New England il a été constaté que “la probabilité de la transmission HIV dans la pénétration anal reçue non protégée était entre 0,008 et 0,032, ou entre 1 dans 125 et 1 dans 31 pour chaque fois d’un tel acte” (RÉF.2 page 71-72).  Par comparaison, la probabilité de la transmission de HIV dans les rapports sexuels vaginaux non protégées est entre 0,0005 et 0,0015 ou entre 1 dans 2000 et 1 dans 666 “seulement”.  Ainsi, les rapports sexuels anaux sont entre 5 et 64 fois plus risquées que les rapports sexuels vaginaux.

Mais il n’est pas seulement à travers “sang à sang” ou “mucus à mucus” que la transmission se passe.  De la publication “Plaisir anal et santé” (Jack Morin, Plaisir anal et santé: Un manuel pour les hommes et femmes, San Francisco, Down There Press, 1998 p. 220) il lit: “Les activités sexuelles offrent plusieurs opportunités que petites doses des feces trouvent sa voie à la bouche du partenaire sexuel. La route la plus directe est à travers le contact oral-anal”.

5:2. Le nombre élevé des partenaires parmi les hommes homosexuels.  Nous retournons de nouveau au website du RFSL de voir que tel est le cas et comment les homosexuels sont prêts de risquer quant au sexe non protégé (réf.15).  Là-bas quelqu’un écrit: ”Nous aimons l’un l’autre et sommes testés négatifs de HIV.  Nous baisons l’un avec l’autre sans préservatif mais avec lui avec les autres.  La sécurité négociée marche si tous les deux sont testés hiv-négatifs deux fois avec un intervalle de trois mois entre eux et ils avaient sexe plus sûr entre eux.  Il a besoin jusqu’à trois mois que les anticorps se forment.  Ensuite vous devez être d’accord sur quels règles appliquer si vous rencontrez quelqu’un autre. De baiser ensuite toujours avec préservatif et immédiatement dire à votre partenaire si vous faisiez du sexe non protégé, c’est un bon accord.”

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6. Infidélité avec le partenaire.
Le nombre moyen de partenaires pendant toute la vie est 50 parmi les hommes homosexuels et 4 parmi les hommes hétérosexuels (RÉF.1; page 54).  De nouveau, une moyenne comme cela n’exclut pas qu’il y a des hommes homosexuels qui sont fidèles à leur partenaire (bien que rarement si jamais pendant la vie) et qu’il y a des hommes hétérosexuels immoraux.  Pendant les 12 mois derniers, le nombre des partenaires était 8 parmi les hommes homosexuels et 1,2 parmi les hommes hétérosexuels.  Les rapports sexuels anaux pendant les 12 mois derniers était 65% parmi les hommes homosexuels (HSH ou les hommes sexe avec les hommes) et 9,5% parmi les hommes hétérosexuels (HSF).

Au-dessus du risque beaucoup plus haut des MTSs parmi les hommes homosexuels (voyez ci-dessus) la infidélité haute dans leur associations résulte souvent à un trauma émotionnel additionnel pour un des partenaires quand une association est cassée.  Par ailleurs, il y a naturellement un trauma émotionnel à quelques enfants adoptés.  Au-dessus du risque beaucoup plus haut de la pédophilie cela a été devenu maintenant aussi une réalité pour nos petits depuis notre Parlement ("Riksdag") dans un acte très honteux légalisa l’adoption par les partenaires homosexuels.  (Voir “La Parade de l’Honte” sous Mythe 4.2 ci-dessous). 

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7. Acceptation sociale et religieuse.
Bien que partie d’une minorité craintive, il y a encore des suédois qui ne trouvent pas la mode homosexuelle de vie également acceptable.  Les raisons sont double: 7:1.  Quelques suédois sont indignés du fait que (en moyenne) la communauté homosexuelle taxe les ressources médicaux, sociaux et financiers dans un degré beaucoup plus grand.  Les hauts coûts du SIDA et autres MTSs, addiction de drogue etc. diminuent les ressources financières disponibles pour les autres services sociaux et programmes de recherche. 7:2. Quelques gens en Suède - même après un déplacement énorme dans les attitudes de la société pendant les décades dernières – ont encore de racines religieuse qui gouvernent leur opinion de la mode homosexuelle de vie.  Regardons les trois plus grandes religions dans notre société aujourd’hui.

ISLAM
L’Islam – probablement déjà la plus grande religion en Suède (au moins en ce qui concerne l’expression de leur religion) – a quelques claires prohibitions contre comportement homosexuel:

(Koran 4:16)
Si deux hommes parmi vous ont luxure (affection) non naturel, ils vont tous les deux être punis.

(Koran 27:55)
Viendriez-vous à un homme en luxure plutôt qu’à une femme.  Non, vous êtes un peuple ignorant.

JUDEO-CHRÉTIEN
Toutes les deux des ces religions mondiale condamnent l’homosexualité traditionnellement.  Cela dit, il faut être reconnu que la plupart des chrétiens d’aujourd’hui (avec les exceptions des catholiques) ont changé leur religion et aujourd’hui embrassent l’homosexualité.  De relever comment c’est passé pendant les 3 décades dernières seulement cliquez dans de link No. 6; Réponse à l’attaque de homosexualité par les groupes religieux.  Malgré la plus grande acceptabilité, toutes ces trois religions principales en Suède – au moins dans leurs valeurs noyau originales et documents sacrés historiques - condamnent l’homosexualité.  Par conséquent, si votre enfant résulte homosexuel, il ou elle est possible de souffrir en relation avec au moins quelques gens dans notre pays.

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8.  Une concentration anormale sur le sexe.
Pour la personne homosexuelle en général, le sexe occupe un part beaucoup plus grand de sa vie.  Quand une personne adolescente de chaque orientation devient sexuellement active, il y a typiquement un intérêt intensifié du sexe.  Tandis que cette concentration pour la personne hétérosexuelle s’affaisse avec le mariage et le commencement d’une famille, pour la personne homosexuelle cela devient non naturel en sa intensité et possibilité.  Vous ne vîtes jamais une organisation hétérosexuelle célébrant leur orientation dans une “Parade du Jour Direct” de Stockholm avec ses membres dans un camion-lit faisant mouvements de baise en face du Royal Palace.  La personne hétérosexuelle a tellement d’autres choses et devoirs qui occupent sa vie.

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9. Problèmes rectaux.
Même quand des préservatifs sont utilisés de réduire le risque de la transmission des virus et bactéries (voyez ci-dessus), les rapports sexuels anaux lèsent encore; spécialement pour la personne qui est pénétrée analement.  Le sphincter rectal est crée pour une telle élongation que de passer les mouvements d’intestin seulement.  La pression d’un pénis peut léser considérablement le sphincter.  Pire encore est la pratique commune de “poingage” comme décrie dans cette manière dans le “Manuel Anal” online du RFSL (réf.5)

Poingage
Baise avec le poing est une technique avancée de sexe et signifie que votre main entier est insérée dans le cul.  De poingeur ou d’être poingé demande une grande connaissance combinée avec calme, responsabilité et conscience.  C’est une question de pratique et confidence.  Insérer votre poing dans le cul d’un autre homme est un privilège.  Celui qui est en train d’être poingé montre qu’il a confiance en vous et cela signifie que vous devez respecter sa vulnérabilité.
Un bon poingeur est totalement concentré à son partenaire et attentif à ses réactions.  L’essentiel pour ce qui est en train d’être poingé est d’être rélaxé et d’être emporté plutôt que forcer le canal anal d’être ouvert.  Si vous êtes un novice vous êtes conseillé d’utiliser un poingeur expérimenté comme votre enseignant.  Quelques recommandations:
* Préparez vous-même d’un nettoyage à grand eau de votre intestine.
* Évitez les lésions en ayant les ongles coupés courts.  Enlevez les bracelets, les anneaux et similaires.
* Utilisez des gants de gomme.
* Jamais les mêmes gants dans deux personnes – Changez-les.
* Utilisez beaucoup de lubrifiants, pr
éférablement à base du silicone.
* Si vous utilisez un lubrifiant à base de l’eau, tenez un verre de l’eau à coté de tremper votre main dedans.
* Évitez jantage après poingage.
* Léchez et baisez d’abord.  Ensuite vous poignez.”
(Fin de citation du website du RFSL.)

Pour cette raison, même quand des préservatifs sont utilisés de diminuer le risque des infections virales et bactériales (voyez ci-dessus) les rapports sexuels anaux sont injurieux, principalement pour l’homme qui est en train d’être pénétré.  Cela mène souvent à "l’incontinence rectale" aussi bien que au cancer anal.  La membrane qui enture le rectum est presque toujours endommagée.  Même sans de trauma majeure, il y a des ruptures mineures (quelques fois microscopiques) dans la membrane rectale que promeut la transmission immédiate des bactérie dans le flot du sang.  Pour cette raison, bien que les partenaires homosexuels fidèles ont un risque plus bas du SIDA, ils (grâce à leur fidélité et confiance relative) engagent souvent dans telles activités et sont très vulnérables à une autre infection non SIDA.

Ils sont souvent victimes des autres infections sérieuses - et quelques fois mortelles – causées par fèces entrants dans le flot du sang.  Cela inclut l’hépatite B et une masse d’infections autrement inhabituelles telles que shigellosis, Guardia Lamblia, qui ensemble sont appelées "Syndrome d’intestin de homo (GBS)" [RÉF.2; pages 80-82].  Un article dans une publication [F.N. Judson, "Hépatite virale et pathogènes entériques transmises sexuellement", Clinique d’urologie de l’Amerique du Nord 11, No.1 (Février 1984), pp. 177-185] récapitule cela comme il suit:

À cause de leur plus grands nombres des partenaires sexuels et pratiques sexuelles telles que l’anilingus et les rapports sexuels anaux, les hommes homosexuels sont en risque particulièrement haut d’acquérir les infections hépatite B, giardiasis, amebiasis, shigellosis, campylobacteriosis et anurectala avec Neisseria gonorrhea, Chlamydia trachomatis, Treponema palladium, herpes simplex virus, et HPV (Virus Papilloma Humaine)".

Avec cette comparaison des modes de vie comme un fond, vous – comme des parents ou grands-parents - pouvez former une opinion indépendante sur quelle mode de vie est cette préférée pour votre progéniture (spécialement les garçons).  Et spécialement à quel degré vous êtes préparés d’aller si vous voulez de prévenir un résultat homosexuel.  Dans le chapitre suivant (Mythe 2) nous explorerons ce que pouvez faire d’influencer sur votre enfant (dans un très bas âge) de sorte qu’il soit possible d’assumer votre orientation sexuelle préférée quand il entre la puberté. 

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Mythe Numéro 2: Vous ne pouvez pas influencer sur l’orientation sexuelle future d’un enfant.

Dans l’exposé qui suit, j’ai choisi de décrire les actions que vous devez prendre – et quels d’éviter – si vous voulez que votre enfant ou petits-enfants choisissent la mode hétérosexuelle de vie après l’entrée dans la puberté.  Néanmoins, si vous préférer la mode homosexuelle de vie (par exemple partenaires homosexuels qui ont adopté des enfants) vous voudrez faire l’opposite de ce qui est suggéré ci-dessous.

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1. Les résultats convaincants de la recherche extensive sont supprimés par l’homolobby.
D’abord un mot sur ce qui est considér
ée “correcte politiquement” en Suède aujourd’hui.  Ce qui suit est considéré largement homophobique (“un point de vue inamical ou défavorable de l’orientation homosexuelle”) dans notre pays.  Bien que destiné comme un terme invective, il est un terme propre.  Il est l’opposite de homophilique (“un point de vue amical ou favorable de l’orientation homosexuelle”).  En Suède aujourd’hui il y a beaucoup plus de gens homophiliques que homophobiques.  Exactement le contraire de ce qu’était il y a une génération avant seulement.

C’est le résultat d’un battement de tambour incessant de la propagande par RFSL et SVT pendant les trois décades dernières.  Si vous n’êtes pas un suédois, vous devez savoir que le SVT est le monopole suédois de la TV; en effet un bras de la propagande et indoctrination du RFSL.  Par conséquent, il ne vint pas comme une surprise quand il était accordé au SVT le prestigieux “Prix Arc-en-Ciel” comme le meilleur et le plus en avant promoteur de leur agenda.  Cela était accordé à propos de la “Semaine de l’Orgueil Homo” à Stockholm, Suède.  Notre capital Stockholm est devenu un aimant (un Mecca virtuel) pour les homophiles de toute l’Europe.

L’homolobby est extrêmement influent dans notre société aujourd’hui.  À tous les niveaux.  Ils savent très bien que leur influence politique est en proportion directe à leur nombre.  Beaucoup de parents et relatifs deviennent très supportant du RFSL une fois qu’ils apprennent qu’un de ses propres est devenu homosexuel. Mais à la fois ils croissent, profondément dedans, que c’est une tragédie.  Par conséquent, si vous êtes parents ou grands-parents qui veulent qu’un jour votre progéniture choisisse l’orientation hétérosexuelle, écoutez soigneusement ce qui suit.  

A grand part du contenu qui suit est pris (avec permission) d’un livre américain par Joseph Nicolosi intitulé ”Un manuel de parents de prévenir l’homosexualité”  (RÉF.3).  Nicolosi a un Ph.D. en psychologie.  On doit noté que ce livre est basé sur ce que la recherche psychologique a montré et n’est pas basé sur des concepts religieux.  À cause de ses points de vues, Dr. Nicolosi est maintenant un anathème pour les dirigeants et plusieurs membres de “l’Association Psychologique Américaine.”  En 1973 une association apparentée –“l’Association Psychiatrique Américaine” ou “APA” vota de rayer l’homosexualité de la liste approuvée officiellement des maladies psychiatriques (le Manuel Diagnostique et Statistique ou MDS en bref).  Il n’arriva rien qu’un coup par a groupe limité mais très vocal et furieux de membres et sympathisants homosexuels (RÉF.1 pages 32-35).  Dès ce temps-la, le psychiatre, psychologues et leur sympathisants homosexuels ont contrôlé de plus en plus la recherche, rapports et symposiums dedans leur organisations.  Par un exemple, Dr. Nicolosi explique ce déplacement dans la politique.  Il écrit (RÉF.3; page 171-172):

”La correctesse politique continue to harceler toutes nos associations de santé mentale.  Une convention annuelle de l’Association Psychiatrique Américaine de 1999 était programmée de comprendre un débat sur si l’orientation sexuelle pouvait être changé par la thérapie.  Mais ce débat était cancellé quand deux des interlocuteurs programmés retiraient, disant que le sujet de l’homosexualité-comme-changeable était trop chargé politiquement pour une réunion scientifique.  Le psychiatre Jeffrey Satinover et moi était originalement proposés comme membres de ce panel, mais les psychiatres homo-activistes refusaient de participer si ou Satinover ou moi auraient participé dans une telle discussion.
Ainsi, vous êtes dans une école diplômée et pensez que l’hétérosexualité est normative?  Bonne chance en exprimant votre point de vue, publiant votre thèse et s’en allant avec vos collègues.  Il y était mieux de tenir cette vue à vous-même ou vous pouvez trouvez vous-même soutirer du club social du lequel vous essayez si fortement de gagner approbation.”

Pour plus d’information sur ce sujet cliquez dans ce link (No.4 dans le side bar).

Si la suppression de la vérité par l’homolobby aux États-Unis est si prévalent imaginez comment cela doit être dans notre pays.  Il n’y a pas probablement un seule psychologue ou psychiatre en Suède qu’il veut de (ou ose de) coopérer avec les parents qui amènent leur fils à leur office à cause de la préoccupation sur le développement d’un comportement féminin dans leur enfant.  Par conséquent, vous comme des parents ou grands-parents êtes laissés seul d’aborder cette préoccupation sur l’orientation sexuelle future de votre progéniture.   Afin de vous aider je vous fais disponibles gratuitement des ressources.  Contactez moi sous “Littérature gratuite” dans le sidebar menu ou écrivez moi à

Après cette introduction un peu longue, jetons un coup d’œil sur ce que révèle la recherche honnête et ce que vous pouvez faire aujourd’hui de prévenir la pré-homosexualité initiale et l’homosexualité subséquente d’être développer dans vos enfants.  Voyons d’abord la racine (la genèse) de l’homosexualité parmi les garçons.

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2. Rapport de recherche par Bieber et al (RÉF.4)
Voyons d’abord sur une étude importante conduite par Irving Bieber et quelques soixante-dix psychiatres et psychologues. L’étude compréhensive commença en 1952 et 10 ans plus tard - après beaucoup d’évaluations et activités associées - une équipe de huit psychoanalystes médicaux et un psychologue clinique dans la Commission publiaient le rapport intitulé “L’homosexualité: Une étude psychoanalytique des homosexuels mâles,
New York: Basic Books, 1962. (RÉF.4).  

En plus de la taille considérable en portée et l’expertise des auteurs, l’étude est signifiante pour deux raisons importantes:

2:1. Elle était conduite entre 1952 et 1962.  Cela était avant qu’il devenait un tabou politique de considérer l’homosexualité un comportement indésirable que devait être prévenu.  Après 1973, quand l’APA enleva l’homosexualité comme anormale de leur MDS (Manuel Diagnostique et Statistique), il devenait pratiquement impossible de conduire des études de ce genre.  Et si un groupe des chercheurs oserait de conduire quelque chose similaire aujourd’hui, ils seraient frappés incroyablement d’ostracisme par ses pairs.  Mais les résultats sont encore valide aujourd’hui et extrêmement importants pour les parents cherchant d’éviter l’homosexualité d’âtre développer chez leurs fils.

2:2
. En 1962, l’homosexualité n’avait pas encore été popularisée par les media principales ou glorifié par les affaires de divertissement.  Aujourd’hui elle est très différente.

Voyez seulement sur ce que le RFSL écrit aujourd’hui dans leur website (réf.16) et comprendrez de quoi je suis en train de parler:
“Qui prend qui? – Sur le sexe pour vous qui êtes jeune et en
Une jeune fille rencontre un gars attirant. Le gars rencontre un autre gars. Le gars arrive d’être avec une fille attirante qui venait d’être avec une autre fille.
Faites l’essai de votre sexualité!  Qui êtes vous-même, qui voulez devenir et sur quoi vous êtes curieux.  Le monde est ouvert et il y a beaucoup de choses de faire l’essai et tout est possible. Et naturellement, vous regrettez de plus ces choses que vous n’avez jamais fait l’essai que celles vous avez fait l’essai.”
(Fin de citation du website du RFSL.)

Il est évident qu’aujourd’hui plusieurs jeunes gens – qui ne sont pas actuellement pré-disposés de devenir homosexuels (i.e. ils n’étaient jamais “pré-homosexuels” grâce â une éducation malheureuse) - cependant choisissent cette mode de vie quand même parce qu’il est tel manie aujourd’hui.  Ou au moins ils font l’essai de cela, plusieurs desquels sont ensuite dans ses pièges (voir point 7 sous la littérature gratuite dans le menu side bar).  Les conditions derrière une telle mode de vie clairement ne sont pas réellement traitées dans ce website.  Il peut être arrêté seulement si les activités telles comme celles du RFSL sont amenées sous contrôle et mis hors-la-loi à l’intérêt d’une société saine. Ainsi, il est sûr de dire que quand l’étude était conduite dans les 1950 e 60, l’homosexualité portait encore un stigma et personne ne voulait choisir ou même faire l’essai de cette mode de vie.  Exactement comme personne ne choisit d’être un alcoolique.  Dans l’étude de Bieber pas moins que 106 hommes homosexuels étaient étudiés en détail, avec un groupe de contrôle de 100 hommes hétérosexuels.  La question de base était dès le début: Pourquoi les 106 hommes étaient devenus homosexuels.  Quoi, si quelque chose, dans leur fond ou éducation avait causé eux d’être physiquement attirés aux autres hommes?

Les résultats de recherche étaient remarquables dans ce qu’il y avait un dénominateur commun pour l’orientation homosexuelle de tous ces 106 hommes.  Bieber et son équipe trouvèrent qu’ils avaient eu tous (sans exception) un père émotionnellement absent ou aucun père du tout pendant leur éducation.  Personne d’eux ne se sentait près de leur papa.

Quelques fois, mais pas toujours, cela était combiné avec une animosité vers leur papa pour une variété des raisons. Le résultat était basé sur comment les hommes avaient éprouvé leurs papas.  Pas le contraire.  Quelques papas pouvaient avoir penser que tout était très bien et ils pouvaient avoir cru eux-mêmes qu’ils satisfaisaient les besoins émotionnels de leurs fils.  

L’étude trouva entre autres choses:
“Le dérangement interpersonnel profond est incessant dans les relations homosexuelles père-fils… Aucun de pères (des fils homosexuels) peut être regardé comme un parent normal raisonnable.″
 
Il est intéressant que dans le groupe de contrôle (100 hommes hétérosexuels) bien loin de tous d’eux avait une bonne relation à leur père.  Un complet de 37 d’eux (37%) confessèrent même qu’ils haïssent leur père.  D’autre part, dans le groupe homosexuel 63 d’eux (59%) dîmes qu’ils haïssent leur père.

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3. Conclusions à déduire
Tout d’abord laissez moi dire que parce que seulement la relation père-fils avait un dénominateur commun pour tous les 106 hommes homosexuels, ne veut pas dire qu’il n’y aura jamais une exception du règle.  Néanmoins, il y a très forte évidence de conclure comme il suit:

Si un père lie émotionnellement à son fils, le fils est extrêmement improbable de devenir homosexuel.  Cependant, si un père ne se lie pas à son fils, cela ne conduira pas nécessairement à l’homosexualité.  Enfin, quelques 37 % des 100 hommes hétérosexuels dans l’étude déclarèrent qu’ils haïssent leur père (comparé à 59% dans le groupe homosexuel).  Mais les hommes homosexuels d’une façon ou d’une autre échouent de se lier à leurs pères.

Autrement dit: L’absence du lien père-fils est une cause nécessaire - mais pas toujours suffisante – de l’homosexualité. 
Pensez sur cela!  Par conséquent,
Papas: Vous ne pouvez pas prévenir l’homosexualité dans votre fils à travers le lien avec lui!
  Mais si vous ne faîtes cela, votre fils n’est pas nécessairement condamné à une vie dans l’homosexualité.  Il y a des autres facteurs en jeu aussi, que nous regarderons plus tard.

Au-dessus du résultat uniforme en ce qui concerne le lien émotionnel entre le père et le fils, plusieurs autres aspects de relation variaient encore, même que la partialité est similaire.  Ici sont quelques-uns d’eux.  (Les nombres ne totalisent pas à 100% puisque pas tous les hommes pouvaient répondre à toutes les questions).
“H” désigne le groupe de 106 hommes homosexuels; “C” désigne le groupe de contrôle de 100 hommes hétérosexuels:             

 

H

C

Le patient est le favori du père

7

28

Un autre enfant (de mêmes parents) est le favori du père

59

36

Le patient se sentait accepté par le père

23

47

Le patient hait le père sciemment

60

37

Le patient acceptait le père

20

50

Le père exprimait affection pour le patient

25

51

Le père avait moins respect pour le patient que pour autres enfants mâles

42

19

Le patient faisait face plus facilement au père qu’à la mère

21

40

Le patient regarde le père comme admirable

16

47

Afin d’interpréter cette table correctement, rappelons-nous que quand un garçon ne se lia pas avec son père, cela ne voulut pas dire automatiquement il devint homosexuel. En effet, la plupart des hommes qui ne se lièrent pas, cependant devinrent hétérosexuels. (Rappelez-vous: défaut de se lier est une condition nécessaire mais pas suffisante pour l’homosexualité). Ainsi, quels autres facteurs sont en jeu dans la détermination de l’orientation sexuelle? Quels autres facteurs promeuvent un résultat hétérosexuel?

Par exemple, jetez un coup d’œil à la sixième question! (“Le père exprimait affection pour le patient”). Parmi les hommes homosexuels environ 25% avaient éprouvé une telle affection. Cela ne les prévinrent pas de devenir des homosexuels puisque ils n’avaient pas senti un lien à leur père bien qu’ils avaient éprouvé des expressions d’affection. Mais environ de fois de cela (51 de 100) parmi le groupe hétérosexuel de contrôle avaient éprouvé une telle affection. C’est clair, bien que le fils échoua de se lier à son père, une expression d’affection de la part du père promeut un résultat hétérosexuel.

Ainsi, basé sur la table, nous concluons que les facteurs suivants (bien que le fils échoue de se lier) promeut un résultat hétérosexuel:

1. Être l’enfant favori du père (bien que cela n’est pas un vertu per se pour un parent d’avoir des favoris).

2. Se sentir accepté par le père.

3. Assurez-vous que les fils n’hait pas son père (notez que quelque 37% dans le groupe hétérosexuel haïrent leurs pères et pourtant devinrent hétérosexuel).

4. Assurez-vous que le fils accepte son père.

5. Le père exprime d’affection pour son fils.

6. Le père a autant de respect pour son fils que pour les autres enfants mâles.

7. Le fils fera face plus facilement à son père que à sa mère.

8. Le fils considéra son père admirable.



Tous ces aspects relationnels sont typiquement une conséquence naturelle du lien. Mais dans les cas où le lien n’arrive pas, ces autres aspects secondaires augmentera un résultat hétérosexuel. Très tristement, beaucoup des pères des fils sons qui échouent de développer une identité masculine, n’ont pas une clé de se qui se passe. Ils avaient besoin de si beaucoup de temps et énergie pour son travail (peut-être grâce à une grande famille de pourvoir), que ils ont peu de temps ou pas de temps du tout pour ce fils particulièrement vulnérable.  Ensuite il y a ces pères qui préfèrent d’aller et jouer du golf dans ces temps libre, plutôt que prendre son fils en pêche.  Nous discuterons au-dessous pourquoi le manque d’un garçon de s’identifier avec le gendre masculin dans un âge très bas est la cause racine de l’homosexualité.

Par exemple, jetez un coup d’œil à la sixième question! (“Le père exprimait affection pour le patient”). Parmi les hommes homosexuels environ 25% avaient éprouvé une telle affection. Cela ne les prévinrent pas de devenir des homosexuels puisque ils n’avaient pas senti un lien à leur père bien qu’ils avaient éprouvé des expressions d’affection. Mais environ de fois de cela (51 de 100) parmi le groupe hétérosexuel de contrôle avaient éprouvé une telle affection. C’est clair, bien que le fils échoua de se lier à son père, une expression d’affection de la part du père promeut un résultat hétérosexuel.

Ainsi, basé sur la table, nous concluons que les facteurs suivants (bien que le fils échoue de se lier) promeut un résultat hétérosexuel:

1. Être l’enfant favori du père (bien que cela n’est pas un vertu per se pour un parent d’avoir des favoris).

2. Se sentir accepté par le père.

3. Assurez-vous que les fils n’hait pas son père (notez que quelque 37% dans le groupe hétérosexuel haïrent leurs pères et pourtant devinrent hétérosexuel).

4. Assurez-vous que le fils accepte son père.

5. Le père exprime d’affection pour son fils.

6. Le père a autant de respect pour son fils que pour les autres enfants mâles.

7. Le fils fera face plus facilement à son père que à sa mère.

8. Le fils considéra son père admirable.



Tous ces aspects relationnels sont typiquement une conséquence naturelle du lien. Mais dans les cas où le lien n’arrive pas, ces autres aspects secondaires augmentera un résultat hétérosexuel. Très tristement, beaucoup des pères des fils sons qui échouent de développer une identité masculine, n’ont pas une clé de se qui se passe. Ils avaient besoin de si beaucoup de temps et énergie pour son travail (peut-être grâce à une grande famille de pourvoir), que ils ont peu de temps ou pas de temps du tout pour ce fils particulièrement vulnérable.  Ensuite il y a ces pères qui préfèrent d’aller et jouer du golf dans ces temps libre, plutôt que prendre son fils en pêche.  Nous discuterons au-dessous pourquoi le manque d’un garçon de s’identifier avec le gendre masculin dans un âge très bas est la cause racine de l’homosexualité.

Mais jetons un coup d’œil sur pourquoi cette étude démontre que l’homosexualité n’est pas héréditaire.  Si elle était vraiment héréditaire, il y aurait plusieurs hommes dans le groupe homosexuel (“H”) qui comme des enfants auraient éprouvé un lien émotionnel à leurs pères.

Ainsi, laissez-moi maintenant résumer comme il suit:
Si un père est émotionnellement engagé dans le développement de son fils et son fils se lie à lui dès l’enfance, il y a une probabilité presque 100% que le fils résultera hétérosexuel.

J’expliquerais ci-dessous (Point 5) pourquoi existe ce fort lien.  Mais laissez-moi dire ici que mon cœur saigne pour ces petits garçons qui manquent un model de rôle mâle dans leur vie.  Et mon sang bouillit quand je vois comment ses garçons sont cherchés tenacement par le RFSL dans une tentative de recruter d’eux plus que possible dans leurs rangs. 

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4. LA PARADE DE L’HONTE
Le 5 juin 2002 était un jour très fatal pour tous les enfants sans mères et pères dans notre pays.  À ce jour-là, le Parlement Suédois vota de passer une loi qui donnait la lumière verte pour les partenaires homosexuels d’adopter des enfants.  La vote était 198 en faveur et 38 contre.  Comment pouvait une personne responsable et éthique priver délibérément un enfant d’une mère et un père lorsque il y a si beaucoup des couples hétérosexuels sans enfants languissant d’adopter un enfant?  Jusqu’à ce point dans notre histoire, nous avons montré typiquement un grand soin pour le bien-être des nos petits.  Plus que tout, cela montre le niveau à lequel nos politiciens se sont baissés d’accommoder le lobby homosexuel.  Quel jugement doit être réservé à tels hommes et telles femmes?

C’est comment le Parade de l’Honte semblait quand le Parlement vota sur la proposition 2001/02:123 (réf.17)

Prop. 2001/02:123
LU27 Association, adoption etc.
Point 1 (Rejection de proposition en ce qui concerne l’adoption et tutelle).
1. Proposition
2. Restriction (kd)
Vote:
198 en faveur de proposition
38 en faveur de restriction
71 abstinents
42 absents
Le Parlement passa la proposition.
Distribution de votes:
En faveur de la proposition:
118 Social Démocrates, 9 Modérés, 34 Parti du Gauche, 12 Parti du Centre, 15 Parti d’Environnement, 9 Parti du Peuple
En faveur de la restriction:
1 Modéré, 37 Démocrates Chrétiens
Abstinents: 60 Modérés, 4 Parti du Centre, 6 Parti du Peuple
Absents: 13 Social Démocrates, 11 Modérés, 9 Parti du Gauche, 5 Démocrates Chrétiens, 2 Parti du Centre, 1 Parti d’Environnement, 1 Parti du Peuple
Anne-Katrine Dunker (m) et Runar Patriksson (fp) notèrent qu’ils avaient l’intention d’abstenir mais avaient été marqués pour un “Oui.”

Comme il peut être vu de ce pointage officiel, il y avait les 37 MPs (Membres du Parlement) des Démocrates Chrétiens seulement qui opposaient l’adoption homo.  Honneur à eux.  Le “Parti Modéré” actuellement ne voulait pas de permettre l’adoption homo en soi mais de permettre la tutelle homo de nos enfants seulement. Une position incroyable. Pensez de cela!  Seraient d’accord les MPs Modérés que des gens homosexuels gardassent leur propres enfants ou petits-enfants?

Imaginez s’il était votre propre fils!  Si vous vous-même – à cause des circonstances au-delà de votre contrôle - devriez laisser quelqu’un autre s’occuper de votre fils.  Et si vous pourriez choisir entre un époux et une épouse dans un mariage apparent normal d’une part et un couple des hommes homosexuels dans l’autre.  Comment choisiriez vous?  Quand vous pensez réellement de ce qu’arriva dans ce jour fatal (5 juin 2002) vous comprenez quel acte imprudent et insensible il avait contre les plus vulnérables de nos petits.  Par toutes les partis dans notre Parlement excepté les Démocrates Chrétiens.  Comment peuvent les autres MPs vivre avec eux-mêmes?  Se regardez dans le miroir chaque jour et comprendre comment ils se débarrassaient de nos enfants sans défense.

L’histoire législative de cette loi ignoble 
Quand les Social Démocrates (le parti majoritaire dans le Parlement) vota dans leur propre plenum sur comment voter comme un block dans le Parlement, ceux qui voulaient de passer la loi prédominaient par une vote seulement
.  Ceux-ci opposés étaient une vote moins seulement.  Cela impliques qu’un peu moins de la moitié des Social Démocrates la croyaient d’être au meilleur intérêt pour que les enfants orphelins aient une mère et un père, tous les deux.  Néanmoins, quand ils votèrent dans le Parlement, aucun d’eux n’osa de voter selon sa conscience.  S’ils auraient voté ce que leur conscience disait à eux, ils auraient perdu leur travail, leur revenu et tous les avantages tranquilles comme parlementaires.  En bref, leurs propres avantages financiers étaient plus importants que le bien-être des enfants orphelins.

Il faut aussi être noté que les organisations majeures suivantes, avec leur expérience dans le bien-être d’enfants, avaient exprimé une opposition énergique à la proposition pour l’adoption homo: Sauvez les Enfants (su: Rädda Barnen), L’Ombudsman des Enfants (Barnombudsmannen), Le Réseaux des Organisations d’Adoption (Nätverket för Adoptionsorganisationer).

En outre, d’opposition a été exprimé aussi par les organisations suivantes: le Département Social, la Commission Nationale des Adoptions Internationales, l’Association Suédoise des Médecins, la Société Suédoise des Psychologues et Sociologues pour la Justice de la Famille, la Société Nationale des Conseillers de la Famille,  l’Organization AFO pour les Enfants Adoptés et Encourager les Enfants, l’Organisation des Enfants Adoptés de la Corée, le Forum pour l’Adoption, l’Organisation des Familles pour l’Adoption Internationale, les Enfants d’Abord, l’Organisation Nationale pour la Justice pour les Enfants (BRIS), les Secrétaires pour la Justice de la Famille, le Centre Conseillant pour l’Adoption, le Réseaux de la Voix des Enfants Adoptés, les Amis des Enfants.
[ En Suédois, les noms des organisations sont: Socialstyrelsen, NIA (Statens nämnd för internationella adoptionsfrågor), Svenska Läkaresällskapet, Sveriges Psykologförbund, Familjerättssocionomernas Riksförening Föreningen Sveriges Kommunala Familjerådgivare, AFO-Organisationen för adopterade och fosterbarn, Adopterade koreaners förening (AKF), Forum för adopterade Förbundet Adoptionscentrum, Familjeföreningen för Internationell Adoption, Barnen Framför Allt - Adoptioner, Riksförbundet Barnens Rätt i Samhället (BRIS), Rädda Barnen, Familjerättssekreterarna, Adoptionsrådgivningen, Nätverket Adopterades Röst, Barnens Vänner]
Toutes ces organisations et experts opposaient la loi pour les adoptions homo. 

Par exemple, la Société Suédoise des Psychologues commenta comme il suit: La proposition est basée sur un point de vue où l’enfant est périphérique et les parents sont dans le centre.  Le texte de la propositon montre un manque complet de compréhension des besoins d’un enfant.  (su: Promemorian har tillkommit utifrån en världsbild där barnet är perifert och föräldrarskapet står i centrum. Författningstexten uppvisar en total avsaknad av förståelse för och kunskap om barns behov. ]

Et dans une interview dans le journal Le Monde Aujourd’hui (su: Världen Idag) en 18 Mai 2005 Lars Ahlin, le président de la Société Suédoise des Psychologues, commenta sur la réponse sagace soumise par son organisation: “Nous n’exprimons pas normalement nous-mêmes dans tels termes si nous ne croyons pas qu’il y avait un défaut majeur de la proposition.  Notre manque de connaissance sur comment un enfant est influé étant élevé par deux parents du même sexe est un grand problème.  Nous avons opté d’assumer la perspective d’enfant puisque il y a une connaissance insuffisante dans la recherche basée sur l’évidence.  Naturellement, c’est un dilemme moral mais nous ne devons pas expérimenter dans les enfants.  Si nous avons su sûrement que les enfants ne seraient pas exposés aux risques inutiles, cela aurait été différent. Mais les enfants ne peuvent pas parler eux-mêmes.
[En Suédoih: “Så här formulerar vi oss inte om det det inte upplevs som en verklig brist i promemorian. Bristen på kunskap om hur barn påverkas av att växa upp med två föräldrar av samma kön är ett stort problem.
- Vi har valt att inta barnperspektivet på grund av att det finns för lite kunskap
, den evidensbaserade forskningen saknas. Det är ju visst ett moraliskt dilemma, man kan inte göra experiment på barn. Kunde vi vara säkra på att barnen inte utsätts för onödiga risker, då hade det varit en annan situation.
- Barnen kan ju inte föra sin egen talan]

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5. Encore plus sur le rôle du père
Retournons maintenant à la question pourquoi il est important que le père soit engagé émotionnellement dans le développement de son fils.

Il y a été dit que les mères produisent des garçons mais les pères produisent des hommes.  Dans un très bas âge l’enfant commence de comprendre que le monde est divisé dans des opposites naturels des garçons et des filles, des hommes et des femmes.  À ce point-là, il ne suffit pas que le garçon observe les différences.  Il doit aussi décider à où il appartient dans ce monde divisé en genres.  La fille a un devoir beaucoup plus facile.  Son premier lien est déjà à sa mère, ainsi elle n’a pas besoin de passer par le devoir additionnel du développement d’être “dé-identifiée” de la personne la plus proche à elle – la mère – de devenir identifiée avec le père.  Mais pour le garçon il est décidemment différent.  Il doit être séparé de sa mère et grandi en différence de son premier objet d’amour si un jour il aura une chance de devenir un homme hétérosexuel.  Cela explique pourquoi il y a plus des hommes homosexuels que des femmes homosexuelles.  Le premier devoir dans le développement à un homme est de ne pas se développer à une femme.

C’est ici où commence le devoir énormément important pour les pères.  Et si le père n’est pas là, un autre mâle doit remplir le rôle.  Cela est extrêmement important.  Parce que le petit garçon a un besoin constant d’aide et d’encouragement dans son développement à un homme. Le père doit laisser lui comprendre qu’un jour il sera comme le papa.  Par exemple, le petit garçon et son papa peuvent prendre un bain ensemble afin qu’il puisse découvrir qu’il et le papa ont la même allure et qu’un jour il deviendra comme le papa.  Qu’il est crée simplement de cette façon et qu’il ne peut pas changé.  Cela signifie aussi que le fils développe une grande confidence à son père.  Le papa devient un model de rôle pour son garçon.  La maman doit diminuer graduellement sa influence sur son fils, commençant à un âge d’environ de 2 ans.  Le père doit montre cordialité et soin à son fils et ne doit pas hésiter de l’embrasser.  Quelqu’un a dit que si le garçon n’est jamais embrassé par son papa, d’autres hommes peuvent l’embrasser, dans une manière très différente, plus tard dans la vie.  Si ce développement naturel et nécessaire n’est pas encouragé, le garçon peut arrivé de souffrir du “Désordre d’Identité du Genre” (DIG), qui est le premier pas pour le garçon pré-homosexuel. 

Notez s’il vous plaît:
5:1
. Comme a été déclaré aupavant, pas tous les garçons qui manquent un père engagé émotionnellement auront problèmes avec l’identité du genre.  Mais le garçon qui a un père engagé émotionnellement de furnir encouragement, très probablement ne souffrira pas de problèmes avec l’identité du genre.

5:2. Les problèmes avec l’identité du genre semblent souvent d’affecter plus les garçons avec un tempérament sensitive que les autres garçons.  Tels garçons sont spécialement vulnérables s’ils éprouvent que leurs papas les rejètent au lieu les encourager.  Une telle situation peut facilement survenir si, par exemple, un garçon a des talents et dons naturels différents de ceux des leur père et frères.  Le père est souvent intéressé aux sports et peut déjà avoir plus grands garçons lesquels il aime amener à la practice de foot et parties de foot.  Si le troisième ou le quatrième fils du père est plutôt intéressé et doué en arts ou musique, il est si facile pour le papa de négliger son petit fils et manquer de l’encourager dans ce qu’il trouve intéressant.  Plutôt, le père doit spécialement prendre temps et payer intérêt à l’intérêt et les talents de son petit fils et l’encourager dans ce domaine.  Et de permettre son garçon de rencontrer d’autres garçons du même intérêt.  Ainsi il deviendra “un des garçons”.  Le garçon ne doit pas capituler au soin de la mère et devenir le “petit garçon de maman”.  En bref: le père doit aider de développer la masculinité de son fils dans une façon qui construit une chaude confiance, respect et affection entre eux.  Tout cela de s’assurer que le garçon un jour voudra être comme son papa.

Le problème avec l’identification du genre vient dans des formes différentes et niveaux différents.  Dans des cas extrêmes – appelés “Désordre d’Identité du Genre” (DIG) – les garçons commencent jouer avec les poupées de sa sœur, de s’habiller des robes de filles et ainsi de suite.  Il est très important que les parents soient d’accord ensemble d’arrêter un tel comportement avec amour et sans rejeter le garçon ou le blaguer.  Mais il est plus commun avec des formes plus douces d’un tel comportement qui est appelé “conflité de genre” ou “confus de genre”.  Mais tous les garçons avec n’importe quel sorte de confusion du genre sont dans le risque de devenir “pré-homosexuels”.  Un tel garçon sentira bientôt qu’il n’est pas comme les autres garçons.  Il peut devenir isolé des et blagué par les autres garçons pour une féminisme développante.  Tout cela renforcera davantage pour lui qu’il est différent.  Oh, comment un tel garçon a un besoin désespéré d’un homme qui peut le rassurer qu’il est exactement comme les autres garçons et qu’il grandira en devenant comme tous les hommes.  Comment je veux que tous les hommes fussent conscients de ce besoin, pas seulement dans la vie de leurs propres fils, mais aussi dans ces garçons vulnérables qui n’ont pas un père.  Et qu’ils feraient tout qu’ils peuvent de prévenir le RFSL de mettre leurs mains sur tels garçons.

Sans aide, le garçon ”pré-homosexuel” se sentira plus à l’aisé et plus sûr parmi les filles.  Mais il est déchiré dedans.  D’un part il voulait qu’il soit comme les autres garçons mais il croit qu’il peut-être n’est pas.  Et quand la puberté surgit, alors le tableau change.  L’appel érotique est toujours vers quelque chose qui est différente que soi-même.  Et si un garçon a été associé plus avec des filles pendant le temps qu’il grandissait et se sentait étrange et singulier parmi les autres garçons, alors son attraction sexuelle sera vers d’autres hommes.

Le lobby homosexuel argumente quelques fois qu’ils font un faveur aux garçons pré-homosexuels en leur donnant confort pendant le temps qu’il grandissent (ainsi ils argumentent), une identité innée, homosexuelle, qu’elle était là dès la naissance.  Mais il vous revient comme parents (et grands-parents) de la prévenir.  Mais vous devez d’abord être convaincus que l’homosexualité n’est pas – répète PAS – quelque chose qui est dans les gènes en naissance.  Dans ce but, vous avez besoin de lire sur le “Mythe numéro 3” ci-dessous. 

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6. Le rôle commun de deux parents
Le second élément très important dans la prévention de la homosexualité dans votre enfant est de lui/elle protéger des prédateurs sexuels. (Un model de rôle mâle est le numéro 1).  La molestation des enfanta est en hausse.  Dans une étude extensive de 1985 par Los Angeles Time dans 2.682 adultes, un entier 16% de tous les hommes et un énorme 27% de toutes les femmes prétendaient d’être molestés sexuellement comme d’enfants.  L’inceste ne laissera pas de cicatrices physiques seulement.  Les cicatrices émotionnelles peuvent être pires.  L’inceste est une cause majeure du développement d’homosexualité.  Chaque enfant donné qui a été violé de cette façon est environ 7 fois plus probable de devenir homosexuel.  Cela est spécialement vrai pour les filles.  En outre, un enfant molesté a une probabilité plus haute de devenir un pédophile lui-même.  Comme le proverbe dit: “De gens blessés blessent des gens”.

Tels enfants malheureux ont besoin d’attention spéciale par les parents d’aider guérir les cicatrices émotionnelles profondes.  Malheureusement, ce sont les enfants des foyers rompues qui sont les plus vulnérables pour une diversité de raisons.  Ce n’est pas toujours un mâle adulte qui viole les enfants.  Un enfant plus âgé ou un adolescent, beaucoup des lesquels ont été déjà molestés eux-mêmes, peuvent commettre aussi tels actes.  Ainsi, dans la société d’aujourd’hui avec ses morales débauché, sa concentration intensive sur chaque chose sexuelle et telle acceptation répandue des déviances, vous devez être très conscients sur quel genre de personne est autour votre enfant quand vous n’êtes pas présent.  Tous les deux, la mère et le père jouent un rôle extrêmement important ici.

Le troisième plus important facteur (dans la prévention d’homosexualité) est la relation et l’interaction entre les parents.  Une relation heureuse et affectueuse entre le mari et la femme est un bon antidote contre un développement pré-homosexuel.  Spécialement pour le fils. Le traitement de la femme par son père laissera impressions indélébiles sur le fils.  Il verra et apprendra, pendant le temps qu’il grandit, somment cela doit marcher.  Comment cela est projeté de marcher.  La mère doit, plus que tout, montrer respect pour son mari et encourager son fils “d’aller et voir le papa” quand il a une question ou un problème important.  La mère doit “laisser aller” de son fils très tôt.  Elle doit casser le lien à elle et laisser son fils commencer de se lier à son père au lieu de cela.  Cela doit commencer après les premiers 2-4 ans de la vie du garçon.  Mais c’est erroné de dire que commencer plus tard est trop tard.  Ce n’est jamais trop tard mais il devient plus en plus difficile comme les années passent sans le “délien” du garçon de sa mère.  La mère doit aussi résister aux tentations de “prendre contrôle de la maison” bien qu’elle peut avoir une meilleure éducation, un meilleur travail ou être plus intelligente que son mari. 

Toute cette réciproque fera le garçon de vouloir devenir comme son papa.  Cela aide le garçon de devenir plein d’assurance et sûr dans sa masculinité en développement, pendant qu’à la fois de devenir affectueux et soigneux tandis qu’il observe comment son papa traite sa femme.  Il est extrêmement beau quand ces forces marchent à la manière qu’il était projeté d’être.  Mais aucun mariage n’est parfait.  Au moins pas tout le temps.  Quelques lapses dans “l’enjouement de rôle” idéal ne feront pas naturellement un garçon homosexuel.  Mais les règles de base de l’interaction entre les parents dans la prévention de l’homosexualité à leur progéniture sont apparentes et bien comprises.

Comment est-il avec le garçon qui – par une myriade de raisons – n’a ni une mère ni un père?  Bon, la tâche est plus difficile mais loin d’être sans espoir.  Après tout, la plupart des garçons qui grandissent avec un seul parent ne deviennent pas naturellement homosexuels.  Il se peut aussi être argumenté qu’un garçon avec un père abusive est dans pires conditions qu’un garçon avec aucun père du tout.  Cela est spécialement vrai pour le garçon qui a été traumatisé à travers de la molestation par son père ou beau-père.  Une maman seule réussit si elle peut faire son garçon connaître bien un relatif mâle (oncle, grand-père etc.).  Actuellement, n’importe quel homme qu’elle peut faire confiance pouvait devenir un model de rôle remplaçant pour son garçon.  Aussi, si le garçon avec une mère seule a plusieurs sœurs, la mère fait bien de surveiller son garçon afin qu’il ne soit pas rattrapé dans les jouets poupées des filles mais par contre ait ses propres jouets de garçon.  Un père seul a une série de problèmes.  Un garçon a besoin naturellement d’une mère.  Mais le père affectueux et soignant a un temps plus facile de prévenir l’homosexualité dans son fils qu’une mère seule.  N’oubliez pas: mères font de garçons mais pères font d’hommes.

Les activités du lobby homo (principalement le RFSL) dans nos écoles aujourd’hui, combinées avec la valorisation de la mode de vie homosexuelle dans les media et l’affaire de divertissement, ont fait beaucoup plus difficile que les parents aujourd’hui préviennent leur progéniture d’être attirée à la mode de vie homosexuelle.  Je trouva récemment cet article (réf.19) dans “Le Quotidien du Soir” (su: Aftonbladet), un journal quotidien dans notre pays.  Ici ils recommandent la plus mauvaise espèce de médicine pour le garçon pré-homosexuel.  Elle lit:

“Quand était la dernière fois que vous donnâtes une poupée à votre fils?  L’expert: Nous subconsciemment élevons nos enfants par de rôles de genre démodés”.

Comment important semble-t-il être pour cet “expert” que nous élevons nos garçons en nouveaux rôles de genre!  De devenir plus féminins.  De tenter de les mener dans confusion de genre.  Il n’y a exactement aucune autre conclusion que peut être déduite de ces ordures.  Et ce battement de tambour continue sans arrêt à tous les niveaux dans les écoles, la société, les media et l’affaire de divertissement.  La communauté homosexuelle sait très bien que l’homosexualité se développe de la pré-homosexualité qui dans sa part provient de la confusion de genre.  À travers l’activité diabolique ils chassent nos enfants dans une tentative flagrante d’augmenter leur appartenance et pouvoir.  À compte des petits les plus vulnérables parmi nous.  Comment mal peut-il devenir?

Mon espoir et rêve est q’un jour il y aura un “Fond Sauvez les Enfants” d’agir contre tous ces ordures.  Il doit avoir comme l’objectif les enfants dans la zone de danger.  Il se peut advenir dans beaucoup de manières mais le but serait d’aider les garçons de se connecter avec modèles de rôle mâles dans le but de les aider de se développer en hommes.  Cela pouvait signifier des choses comme la sponsorisation des camps de l’été, où les dirigeants sont mariés heureusement et des hommes hétérosexuels stables avec un haut standard moral et un désir d’aider les enfants sans pères.  Pour une information additionnelle sur le rôle du père lisez “Expériences d’enfance des hommes homosexuels” par Dale O’Leary pour NARTH (réf.20).

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7.  Attaques du homolobby aux États-Unis contre le gens qui ne sont pas d’accord avec leur agenda
La recherche extensive et les conclusions déduites par Irving Bieber et son équipe (RÉF.4) – qui ont été vérifiées dans d’études postérieures – ont mis à jour une colère énorme de la part du homolobby dans “les deux APAs” (l’Association Psychiatrique Américaine et l’Association Psychologique Américaine).

Les résultats de telles études honnêtes ne sont pas considérées “corrects politiquement” dans notre société aujourd’hui.  Et Bieber a été traité conformément à cela.  Par exemple, quand Bieber beaucoup d’années après la publication donna une lecture dans une conférence de APA sous le sujet ”Homosexualité et trans-sexualité” il était interrompu rudement par agitateurs du lobby homosexuel dedans l’APA.  Un autre chercher - Ronald Bayer qui était à cette époque-là un collègue dans l’Institut Hastings à New York - décrit l’épisode dans son livre (Homosexualité et psychiatrie américaine: La politique de diagnose, New York: Basic Books, 1981; page 102-103; RÉF.1 page 33) dans cette façon:

“Les efforts de Bieber d’expliquer sa position… étaient attendus avec des rires moqueurs… [Un] protestaire de l’appeler un ­_____.
 ‘J’ai lu votre livre, Dr. Bieber, et si ce book parlerait de nègres à la manière qu’il parle sur les homosexuels, vous seriez traîné et divisé en quatre et vous mériterez cela’”

Bayer continue:
La tactique marchait.  Accédant à la pression, les organisateurs de la conférence suivante de l’APA en 1971 consentirent de sponsoriser un panel spécial – non sur
l’homosexualité, mais par les homosexuels.  Si le panel n’était pas approuvé, le président du programme était prévenu, ‘Ils [les activistes homosexuels] ne rompraient une section seulement.”

Mais le panel ne suffisait pas.  Bayer continue:
“… [Ils] s’adressèrent à un collectif du Front
de la Libération des Homos” à Washington de planifier la manifestation de mai 1971. Avec le collectif [ils] développaient une stratégie détaillée pour dérangement, faisant attention au détail logistique le plus compliqué.

En 3 mai 1971, les psychiatres protestaires entraient par la force dans une réunion des membres distingués de la profession. Ils agrippaient le microphone et le tournaient à an extérieur activiste qui déclara:
 ‘La psychiatrie est l’ennemi incarnate. La psychiatrie a fait une guerre impitoyable d’extermination contre nous.  Vous pouvez la prendre comme une déclaration de guerre contre vous… Nous vous rejetons tous comme nos propriétaires.’

Les activistes assurent ensuite une apparition avant la Comité de l’APA sur Nomenclature.  Son président admit que peut-être le comportement homosexuel n’était pas une signe de désordre psychiatrique et que le Manuel Diagnostique et Statistique (MDS) doit par conséquent probablement refléter cette nouvelle compréhension.

Bientôt par la suite, l’APA effaça l’homosexualité comme un désordre du MDS, non basé dans l’information scientifique mais grâce à l’activisme rude de la part des homosexuels dedans l’APA.  Il est curieux de lire l’histoire complète dans RÉF.1 page 32-35.

Et ainsi une nouvelle époque commença dans laquelle une majorité accablante de psychiatres et psychologues n’osent plus aider les parents pour qu’ils préviennent un développement homosexuel dans leurs enfants.

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8.  Attaques du homolobby en Suède contre le gens qui ne sont pas d’accord avec leur agenda
En ce qui concerne la sodomisation rapide de notre pays, les étapes importantes ont été comme il suit (source: http://www.gluefox.com – Là-bas vous cliquez dans le side menu sous "Dagens Adrenalinklick" et ensuite sélectez “Homosexualitet -- en naturlig yttring av människans sexualitet, eller...? " (réf.21):

Avant le 1944, les actes homosexuels entre les adultes étaient criminalisés et étaient regardés comme quelque chose non naturelle et dépravée.  Dans le temps convenable la perspective psychologique sur homosexualité arriva de dominer, où l’origine de l’homosexualité était considérée d’être un dérangement psychologique enraciné dans d’expériences traumatiques dans l’enfance.  Dans l’Encyclopédie Médicale (su: Medicinsk Uppslagsbok), l’édition de 1969 par Ack Renander (considérée longtemps la concordance médicale standard en Suède) nous trouvons la définition suivante: ”Désir sexuel infirme, dirigé pour le même sexe”, et dans l’Encyclopédie de Norstedt (su: Norstedts Uppslagsbok) de 1973, l’homosexualité était expliquée comme: ”Désir déformé sexuel pour le même sexe. L’opposé: hétérosexualité, désir sexuel normal”.  

Vite en avant au Festival de l’Orgueil de 2001, l’extravagance homosexuelle à Stockholm.  Dans le tente appartenant à l’Association de la Jeunesse Libérale (su: Liberala Ungdomsförbundet) l’attraction principale était de jeter flèches sur grandes photos de Alf Svensson, du Pape et d’Ulf Ekman (le dirigeant de “La parole de vie; la nouvelle dénomination charismatique de la Suède).  Dans ce cas vous pouvez sûrement parlez de l’haine et l’encouragement à la violence, tous le deux contre des gens et groupes de gens sélectés représentés par ces dirigeants.  On peut se demander quelle réaction il y aurait dans les media si une conférence religieuse aurait une attraction similaire avec les photos de quelques “chrétienophobes” du RFSL avec le texte: “battez les pédés”.  Quelque chose comme cela est naturellement impossible parmi les gens de la religion.  Cependant, le RFSL n’hésite pas de susciter haine contre les gens religieux.  Ils leur manquent complètement la tolérance de certains groupes des gens.

Des exemples additionnels d’incitation de haine par les homosexuels en Suède aujourd’hui: Dans la magazine de la jeunesse “Lava”, publiée en juin 2003 par la Ville de Stockholm (et ainsi payée avec l’argent de payeurs de taxes), montrait un dessin caricaturé de Siwert Öholm faisant sexe avec Alf Svensson.  Sous le dessin ils avaient écrit le texte suivant, écrit par le chanteur et “débateur” Ujje Brandelius,  “… il s’agit de nettoyer et se débarrasser d’un mâle chrétien, desséché, pourri, un ancien système puant maudit, de la face de notre terre ”.  Le dessin et le texte étaient rapporté par Hans-Göran Björk (qui est, parmi autres choses, un journaliste pour le “Monde Aujourd’hui”, avec forts liens à la “Parole de Vie”) à tous les deux, le Secrétaire du Département de la Justice (su: Justitiekanslern; JK) et l’Ombudsman pour la Justice (su: Justitieombudsmannen; JO).  Tous les deux pensaient que les expressions de débarrasser des chrétiens de la face de la terre étaient assez acceptables.  Comparez cela avec les actions légales sévères contre Pasteur Åke Green quand il parla franchement contre l’homosexualité et des autres péchés sexuels.

En Suède aujourd’hui, beaucoup de centres et branches officielles des autorités du gouvernement sont influencés fortement par l’agenda de l’homolobby. De la Cour Suprême Suédoise (su: HD ou Högsta Domstolen) et en bas. Et pas à un niveau politique seulement. La majorité dans “l’Église de la Suède” - principalement financée avec l’argent de payeurs de taxes depuis des siècles en arrière – est influencée fortement par l’intérêt de l’homolobby. Néanmoins, même dans cette église il existe un nombre appréciable de membres, de pasteurs aussi, qui sont en désaccord avec les politiques qui émanent des dirigeants.

L’archevêque Hammar et sa sœur lesbienne, la vicaire Anna Karin Hammar à Uppsala, sont dans le premier plan de changement de ce qui a été une longue tradition doctrinale dans l’Église Suédoise (Luthérienne). Pour plus d’information sur la réaction chrétienne très sordide (avec quelques exceptions) envers l’attaque de l’homosexualité allez au Nr. 6. Pendant la “Soirée de la Culture” à Uppsala le 9/19, 1998, ils organisèrent un ”masse/service” dans la Cathédrale d’Uppsala, où ils exposèrent la soi-disant l’Exposition Ecce Homo. Elle consistait des représentations de Jésus, non seulement dans un environnement homosexuel, mais comme un homosexuel lui-même. De représenter Jésus à cette manière pendant un “service” dans la Cathédrale sanctifiée d’Uppsala, semble comme l’expression ultime pour ce qu’est arrivé en Suède pendant les 30 ou environ années dernières.

Dans un environnement comme cela il est pratiquement impossible que les parents trouvent de psychologues et psychothérapeutes prêts de donner conseil sur les problèmes de la confusion de genre dans leurs enfants.  Sauf, naturellement, ils encouragent les parents de laisser leurs enfants de se développer en hommes et femmes homosexuelles.  L’Association Suédoise des Psychologues (actuellement environ 8500 membres) était fondée en 1955.  En 1998 ils publièrent leurs “Principes Éthiques pour les Psychologues Professionnels dans les Pays Nordiques” (su: "Yrkesetiska Principer för psykologer i Norden").

Parmi autres choses elles stipulent qu’ils doivent “respecter les différences dans les aspects individuels, de modèle de rôle et culturels en ce qui concerne le niveau de fonctionnement, de genre et d’orientation sexuelle ”.  Il se peut sonner comme beaucoup de radotage (et il la fait dans le texte original suédois aussi).  Sauf que le mantra est “respectez l’orientation sexuelle”.  Combiné avec “l’information au public” sur “conseil concernant complaintes sur psychologues” il a une connotation menaçante pour chaque psychologue qui veut aider les parents de prévenir l’homosexualité dans leur enfant.

Jusqu’ici nous avons traité le Mythe Numéro 1 (que tous les deux modes de vie sont également désirables) et le Mythe Numéro 2 (que vous ne pouvez pas influencer sur l’orientation sexuelle future de votre enfant).  Ainsi, continuons au Mythe Numéro 3.

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Mythe Numéro 3: L’orientation sexuelle est héréditaire. - “Elle est dans les gènes.″

1.  La partialité/tissage des résultats de recherche par l’homolobby
L’Association Psychiatrique Américaine (APA) a publié un document d’orientation pour leurs professionnels exerçants intitulé le Manuel Diagnostique et Statistique (MDS).  Jusqu’à 1973 l’homosexualité était considérée un comportement anormal d’être traité avec raison.  Mais cette année, et sans études de recherche comme une base, l’APA déclara l’homosexualité comme un comportement normal.  Nous avons démontré ci-dessus comment il avait eu lieu dans une manière très non démocratique par l’activisme astucieux et répugnant des éléments homosexuels dans l’APA et leurs sympathisants.  (RÉF.1; pages 32-36). Dans deux ans après cette décision, L’Association Psychologique Américaine (abréviée aussi APA et avec trois fois plus des membres) prit la même décision. Dès que ces décisions majeures étaient prises, il était soudainement considéré inapproprié d’essayer d’aider les parents de prévenir un développement homosexuel dans leurs enfants.  Ces qui osèrent plaider cela étaient punis sévèrement.  

Pendant les années depuis 1973, les branches homosexuelles et leurs sympathisants ont exercé de plus en plus pouvoir dedans les deux APAs.  Si beaucoup qu’ils constituent aujourd’hui un commission virtuelle de censure avec le pouvoir de diriger toute la recherche dans le domaine d’homosexualité, son origine et ses causes.  Les homosexuels sont aujourd’hui énormément surreprésentés dans les sciences de comportement.  Par conséquent, chaque fois qu’un rapport de recherche nouvelle est publié, il est essentiel de révéler qui sont les chercheurs et leur orientation sexuelle plus l’origine de l’argent pour l’étude.  Il est si triste que cela est le cas.  Mais cela est exactement la façon qu’il est aujourd’hui et par conséquent nous avons vu beaucoup de recherche déformée – et même truquée - sur ce sujet pendant les décades dernières.  Le centre d’agenda homosexuel est de démontrer au moyen de la “recherche” - et la dissémination des résultats dans les media - que l’homosexualité est génétique.  Quand la recherche subséquente prouve les résultats comme erronés ou même falsifiés, la correction n’est à être trouvée nulle part dans les media.  Dans ce qu’il suit nous allons regarder de nombreux exemples de cela.

Mais nous devons regarder d’abord pourquoi
nous avons cette partialité affreuse, non seulement dans la recherche mais aussi dans les media disséminant les résultats à l’audience du plus large public.  Les enquêtes ont démontré que les homosexuels et leurs sympathisants sont très surreprésentés dans les media.  Comme un exemple seulement, la New York Times et Washington Post - les organisations principales d’information des ”vieux media” – ont un conseil éditorial avec une majorité de homosexuels.  Cela peut être un cas extrême, mais la partialité est la même partout dans les media.  Et les journaux eux-mêmes n’écrirent naturellement jamais sur cette partialité enfoncée.  Ils ne laissèrent jamais aux leurs lecteurs savoir combien dans leurs éditoriaux conseils sont homosexuels.

Pourquoi est-il si important souligner cette situation?  Bon, tous nous formons nos opinions et attitudes en se basant sur ce que nous lisons et écoutons.  Chacun, point!  Ainsi, les opinions ténues communément sont formées sur une grande échelle par nos media.  Spécialement par la TV.  Et dans un pays comme le notre avec un nombre limité de chaînes en suédois, nos sources d’information – pour notre population en général – sont vraiment très limitées.

Aux États-Unis, la New York Times donna récemment directions aux ses journalistes – et il y a beaucoup d’eux dans tout le monde – sur comment ils doivent rapporter sur les questions de l’homosexualité.  Par exemple, ils déclarent sur les questions de la droit d’homo comme il suit: ”Les partisans des homos sont inquiets que l’expression ‘doits des homos’ peut faire les gens réagir dans une manière négative en croyant que les homos ont des droits que les autres n’ont pas.  Les partisans des homos préfèrent l’expression ‘droits égaux’ ou ‘droits de citoyen pour les homos’.  Si vous devez utiliser le terme ‘doits des homos’ – par exemple dans les gros titres où l’espace est chère – vous devez définir précisément dans le texte de quoi il parle
.” 

Puisque l’agenda de l’homolobby est d’envoyer leur message aux media, alors combien mieux il serait d’être
actuellement dans les media.  Et dans des positions principales.  Les journalistes homosexuels en 1990 formèrent leur propre association nationale, L’Association Nationale des Journalistes Lesbiennes et Homos (NLGJA), qui est devenue très influente.  Dans leur gala de 10e anniversaire à San Francisco le 7-10 septembre 2000, ils avaient une discussion surréelle dans une des leurs sessions principales.  La question discutée par le panel était cela: “Est-ce qu’un journaliste, quand il rapporte sur des histoires concernant l’homosexualité, a une responsabilité d’inclure des points de vues qui contredisent ceux des homosexuels?  Un des participants d’une organisation majeure d’information (Jeffrey Kofman) le phrasa à cette façon: “Toute cette question debalance’ que nous comme journalistes sommes supposés d’accomplir… comme quand nous couvrons la communauté noire, je n’ai jamais vu une salle de rédaction où vous êtes en train de couvre un aspect et ensuite vous devez de sortit et prendre le point de vue du Clan; Bon, je suis obligé d’aller faire l’interview de mon Clan. Comment pouvez vous être honnête? “  Paula Madison, vice présidente de la diversité dans NBC et la directrice d’information de WNBC à New York intervint: “Je suis d’accord avec lui.  Je ne vois pas pourquoi nous cherchâmes… le point de vue absurde, insane, seulement d’obtenir un autre point de vue.”  Kofman ajouta: “Nous tous avons vu et continuons de voir beaucoup de couverture qui comprend des perspectives sur des questions de homos qui incluent des gens qui sont simplement intolérants et peut-être non qualifiés aussi.”

Le message ici est clair comme le cristal: Puisque ceux avec un point de vue opposé sont premièrement fanatiques intolérants, ne les permettons pas d’avoir une voix dans les media.  Gens, nous sommes venu à ce point de vue intolérant par le lobby homo dans notre spiral dangereux vers le bas dans la société.

La directive par la New York Times à ses reporters et journalistes de n’utiliser plus l’expression “droits des homos” cour au contraire des recommandations originales dans l’ancien livre par Kirk et Madsen (“Après le bal: Comment l’Amérique conquérra son peur de homos dans les années 90”).  Je ne peux pas penser à une mise à nue meilleure des méthodes astucieuses de commercialisation utilisées par Kirk et Madsen qu’un livre par David Kupelian entitulé “La commercialisation du mal: Comment les radicaux, élitistes et peudo-experts nous achètent la corruption déguisée comme liberté”.  Pour un bon synopsis du livre cliquez ici (ref.22).

David Kupelian écrit dans son livre: “Vous pouviez vous demander: Où et quand s’arrêtera ce rouleau à compresseur des relations publiques pour les ‘droits des homos’?  La partie finale est non seulement de causer l’acceptation complète de la homosexualité, y compris le mariage du même sexe, mais aussi de prohiber et même criminaliser le criticisme public de l’homosexualité, y compris la citation des passages bibliques qui désapprouvent l’homosexualité.  Autrement dit, le brouillage total du criticisme avec la force de loi.  Cela est déjà essentiellement le cas en Canada et parties de la Scandinavie.” 

Ainsi aujourd’hui, malheur au journaliste qui ose exprimer des opinions qui ne sont pas correctes politiquement. Cela peut ruiner la carrière pour n’importe qui. Dans notre propre pays la situation est encore pire qu’aux États-Unis. Par conséquent, il n’arriva pas comme une surprise quand la TV suédoise (“SVT”) – avec le monopole d’être financée par les honoraires obligatoires de licence – a été attribué le “Prix Arc-en-ciel” prestigieux pour la promotion avec succès de leur agenda.

De façon il est compréhensible que les journalistes et artistes travaillant dans les media et les affaires de divertissement travaillent supplémentairement à faire les autres accepter leur mode de vie.  Qui ne veut pas être accepté?  Il est juste si triste que cela est en train de se passer à compte des enfants les plus vulnérables et que cela viole le droit des parents et grands-parents de savoir les faits.

Ce qui se passa dans un symposium de recherche en 1996 sur le sujet “l’orientation sexuelle” est très instructif pour l’illustration des forces et méthodes qui marchent.  Un des chercheurs, Scott Hersherger, suggérait que les cours seront débordés de soutenir discrimination contre un groupe si le groupe est identifié plus des traits biologiques que ceux comportement.  Il dit à la foule de sympathisants: "Les votes de l’opinion public, plus la recherche empirique, nous disent toujours qu’il existe une corrélation positive entre les convictions des gens en l’immutabilité d’un trait et leur acceptation de ce trait. Ainsi, plus qu’une personne croit que l’homosexualité ou l’orientation sexuelle est biologique, plus il ou elle sentira plus positivement sur cela."   Autrement dit, le message était: Produisons des études de démontrer que “l’homosexualité ou l’orientation sexuelle est biologique et pas une mode de vie choisie!”  Ainsi, il n’est pas une surprise que nous avons beaucoup de "science drôle" arrivant à nous.  Tout dans une tentative de faire les gens croire"”.  Si la recherche est honnête est d’ailleurs le point pour beaucoup d’eux.  Il semble comme tout explication du comportement homosexuel – sauf cette de la Bible (Romains Ch. 1) - est acceptable pour beaucoup de "scientifiques" en psychologie.  Et pour un media et public crédule!  Tout cela afin d’excuser un choix de mode de vie qui est malfaisante pour tous les deux, l’individu et la société.  Considérez tout l’argent de recherche (souvent des sources homosexuelles) alloué à ce genre de recherche. 

Les activités de recherche concernant l’homosexualité se divisent en deux catégories majeures: 1) Théories psychologiques/écologiques et 2) Théories biologiques.  Notre discussion jusqu’à ce point (e.g. Bieber et al) a traité les théories psychologiques/écologiques.  Maintenant nous avançons à les théories biologiques qui peuvent être subdivisées dans trois domaines de recherche:
-  L’hypothèse hormonale des adultes
-  Les hypothèses génétiques
-  Les hypothèses hormonales prénatales.

L’hypothèse hormonale des adultes.  Pendant quelque temps il a été spéculé qu’il y avait une différence dans les hormones sexuelles entre les adultes hétérosexuels et ces homosexuels. Il a été maintenant démontré que le cas n’est pas tel et ce domaine d’investigation est par conséquent hors de sujet aujourd’hui.

Les hypothèses génétiques.   Ceci est le domaine de recherche qui a été de plus grand intérêt pendant ces décades dernières.  Ainsi nous allons se concentrer maintenant sur ce domaine particulier.  Il est aussi le domane dans lequel des conclusions définitives peuvent être déduire.

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2. Kallman
Dans l’investigation pour une origine génétique possible de l’homosexualité, il était des le début de grand intérêt d’étudier les jumeaux identiques (jumeaux monozygotiques).  Pour des raisons très évidentes.  Il est bien connu que les jumeaux identiques partagent des caractéristiques déterminées en naissance.  Si, par exemple, un des jumeaux a une couleur marron des yeux, le jumeau identique a toujours aussi une couleur marron des yeux.  Et ainsi de suite.  Ainsi, s’il y avait un “gène homo”, les jumeaux identiques l’auraient tous les deux et ainsi il résulte d’avoir la même orientation sexuelle.  Et devinez quoi?  C’est exactement ce qu’une ancienne étude de 1952 par Kallman trouva.  Dans le “Journal de la maladie nerveuse et mentale” il publia des résultats qui montraient un taux 100% de concordance de l’homosexualité dans les jumeaux monozygotiques (jumeaux identiques).  Voyez RÉF.5; page 71.  Cela était vendu avec insistance dans ce temps-la comme l’évidence ultime que l’origine d’homosexualité était “dans les gènes”.  Il y avait un problème seulement avec l’étude.  Elle était fosse!  Elle ne résista pas à l’examen minutieux.  Pensez de cela.  Subséquemment, il était tout à fait facile de déterminer que parmi tous les jumeaux identiques il y en avait plusieurs (actuellement une majorité) où seulement un ou le père avait développé l’homosexualité.  C’était un des anciens exemples de la malhonnêteté scientifique qui a depuis harcelé la recherche dans ce domaine grâce à la politisation de recherche.
  Kallman, maintenant en déconsidération, référa plus tard à ses résultats comme un “artefact statistique.”

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3. Bailey-Pillard (1991)
Mais l’intérêt aux jumeaux identiques resta.  Pour les même raisons évidentes.  Il pouvait être qu’il y avait un gène que prédisposa un homme à l’homosexualité mais les facteurs écologiques marchaient aussi.  Bien que le “taux de concordance” n’était pas manifestement 100% comme Kallman avait suggéré, il pouvait être qu’il était pourtant beaucoup plus haut que le 2%-4% qu’un accouplage fait au hasard prévit basé sur un tel taux de pourcentage des homosexuels dedans la population en général. 

À ce but des autres études sur ce sujet étaient conduites.  Une d’eux était une étude en 1991 par Michael Bailey de l’Université Nord Occidentale et Richard Pillard de l’École Universitaire de Médicine de Boston.  Leur Rapport (RÉF.5; pages 72-78) reçut une publicité très répandue et il est ce à qui le lobby homosexuel réfère encore dans les media (à un public crédule).  Pillard était un homosexuel.  Dans leur rapport (réf.17) ils présentèrent les résultats suivants.

Jumeaux monozygotiques (jumeaux identiques): 52% PC (29 de 56 = 52%)
Jumeaux dizygotiques (jumeaux non identiques): 22% PC (12 de 54 = 22 %)
Enfants de mêmes parents qui ne sont pas de jumeaux: 9% PC (13 de 142 = 9%)
Enfants de mêmes parents adoptés: 11% PC (6 de 57 = 11%)

Bailey et Pillard utilisèrent le terme CP (Concordance Probatoire) qui signifie comme il suit:
Pour des jumeaux identiques le “52% CP” signifie que 52% des jumeaux identiques qu’ils repèrent partagèrent leur préférence homosexuelles avec leurs frères. Au premier regard, cela peut sembler d’avoir quelque sens pour un argument pour le “gène homo”. Les 52% pour les jumeaux identiques suggèrent que pour chaque jumeau identique avec identification homosexuelle il y a un 52% chance que son frère jumeau sera homosexuel aussi. Un plus haut nombre que les 2-4% d’être attendu basé sur le pourcentage des homosexuels dans les populations générales.

À ce temps-la, plusieurs gens regardaient les résultats d’études comme une preuve que l’homosexualité est génétique (si pas 100%) au moins sur une grande échelle.  Ce qui n’était pas connu par le public, mais caché par Pillard, était le fait qu’il y avait une “partialité d’échantillon” très forte.  Autres chercheurs postérieurs manquèrent de produire de résultats similaires.  Il était révélé ensuite que Bailey et Pillard avaient recruté leur population d’échantillon par avertissement dans des magazines pro-homo, introduisant une partialité évidente dans leur étude.

Il est important que l’implication de cela soit comprise. Il était important pour la communauté homo de prouver l’hypothèse génétique pour trois raisons: 1) si la cause de l’homosexualité était génétique, la société ne devrait pas être concernée sur les hommes homosexuels recrutant des adolescents jeunes dans leurs rangs et 2) l’incidence environ dix fois plus haute de molestations des enfants parmi les homosexuels ne contribuait pas de prédisposer l’enfant à l’homosexualité si elle était génétique dans son origine et 3) il y aurait une acceptation générale de la mode de vie homo puisque elle n’était pas un choix mais ils étaient nés de cette façon.

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4. Bailey-Dunne-Martin (2000)
Avec sa réputation en danger, Bailey continua de produire un autre étude sans la participation de Pillard.  Cette fois Bailey s’unit avec Dunne et Martin pour une étude entièrement nouvelle sur les jumeaux identiques.  En mars 2000 ils publièrent leurs découvertes dans le “Journal de Personnalité et Psychologie Sociale” [ref.17B]. En acquérant accès au “Registre de Jumeau” australien, ils furent capables de contacter tous les jumeaux identiques connus en Australie. Cela élimina la partialité précédente d’échantillon. Bailey expliqua dans l’étude le sens de “Concordance Probatoire” aussi. Les résultats de la nouvelle étude, comparés à ceux de la première
étude sont montrés dans cette table (du REF.5 – page 76):

 

Bailey & Pillard Mâles

Bailey etc Mâles australiens

Bailey & Pillard Femelles

Bailey Femelles australiennes

Jumeaux identiques

“29/56”
52% CP

3 de 27
20% CP

“34/71”
48% CP

3 de 22
24% CP

Jumeaux fraternels

“12/54”
22% CP

0 de 16
0% CP

“6/37”
16% CP

1 de 18
10% CP

Enfants de mêmes parents non jumeaux

“13/142”
9% CP

Non rapporté

“10/73”
14% CP

Non rapporté

Enfants de mêmes parents adoptés

“6/57”
11% CP

Non rapporté

“2/35”
6% CP

Non rapporté

Notez les conclusions très différentes mêmes dans l’étude (non déformée) sur les jumeaux australiens.  Parmi les mâles, Bailey et al maintenant trouvèrent que des 27 couples mâles de jumeaux identiques, avec un mâle homosexuel au moins, 3 seulement avaient un frère jumeau qui était aussi homosexuel. Autrement dit: 3 seulement d’un total de 27 (ou 11.1%) hommes homosexuels avaient son frère jumeau aussi homosexuel. Par conséquent 11% (=3/27) de concordance seulement. Les 20% “Concordance Probatoire” rapportés pour l’étude sur les mâles australiens dans la table viennent de la nouvelle méthode de Bailey, Dunne et Martin comptant chaque couple concordant deux fois dans tous les deux, le numérateur et le dénominateur. Ainsi nous obtenions 3+3=6 dans le numérateur et 27+3=30 dans le dénominateur (6/30=20% montrés comme CP dans la table.  Mais pour un but de comparaison avec l’étude précédente nous devons comparer les 29 de 56 (52%) dans l’étude par Bailey-Pillard avec les 3 de 27 (11%) dans l’étude de Bailey-Dunne-Martin.

Mais dans l’analyse finale nous voulons comparer la concordance 11% dans Bailey-Dunne-Martin avec la fréquence de l’homosexualité parmi la population en général.  La concordance 11% ne suggère plus une influence génétique.  Bien que le 11% est plus haute que la fréquence de l’homosexualité mâle parmi la population en général, nos devons considérer que les jumeaux identiques ont typiquement un environnement et éducation très similaires.  Le 11% (comme opposé au 2%-4%) pouvait expliquer très facilement cela.  Si quelque chose, ce résultat par Bailey-Dunne-Martin suggère qu’il n’y a pas aucun lien génétique discernable.  Malgré ce nouveau résultat, le tissage et la politisation de cette question dans les media ne sont pas finis. Après tout, nous sommes en train de parler de la “science de gène homo” (science drôle) et dans la société d’aujourd’hui, l’idée de la “correctesse politique” prend un précédent sur les faits scientifiques. 

L’étude de Bailey-Dunne-Martin n’hésita pas mettre à nu l’étude fausse précédente par Bailey et son collègue homosexuel antérieur Pillard.  Dans les conclusions de leurs découvertes ils déclarent: “Cela suggère que les concordances des études précédentes étaient gonflées grâce à la partialité de vérification dépendante de la concordance” (c’est-à-dire à la partialité d’échantillon).  Ils déclarèrent davantage: “Cette étude ne pourvut pas de support statistiquement significatif pour l’importance des facteurs génétiques pour l’orientation homosexuelle.

Ainsi, en résumé, cette étude par Bailey, Dunne et Martin (sans une partialité d’échantillon) désapprouve pas seulement l’étude précédente par Bailey et Pillard, mais elle est aussi une forte évidence que l’homosexualité n’est pas un résultat du codage génétique.

Cela n’exclut pas naturellement la possibilité (peut-être même la probabilité) que des autres gènes peuvent contribuer au développement de la pré-homosexualité dans l’enfance.  Par exemple, les garçons nés avec un tempérament très sensitif peuvent souffrir plus que la plupart des garçons de la rejection d’un père irresponsable, ce que à son part les fait plus vulnérables à la confusion de genre et même au Désordre d’Identité de Genre (DIG) comme discuté précédemment.  Une analogie est qu’un garçon né avec des gènes qui le font trop haut, a une plus grande chance de devenir un bon joueur de basket-ball.  Mais pas sans décidant d’abord de jouer basket-ball.

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5. Encore une autre étude fausse (Hamer, Hu, Magnusson, Hu et Pattatucci)
Actuellement, avant que l’étude de Bailey-Dunne-Martin de 2000 discrédita l’ouvrage précédent de Kallman et Bailey-Pillard, une autre étude fausse avait été conduite.  Tandis que les études Bailey-Pillard et Bailey-Dunne-Martin sur les jumeaux identiques étaient dans le domaine de “la recherche génétique indirecte,” une étude en 1993 était dans le domaine de “la recherche génétique directe”.  Cette année-la, Hamer, Hu, Magnusson, Hu et Pattatucci publiaient dans le journal Science
les résultats d’une étude génétique directe intitulé “Un lien entre les marqueurs DNA dans le Chromosome X et l’orientation sexuelle mâle” [RÉF.1; pages 110-113 et RÉF.5; pages 79-83]. Cette étude était immédiatement annoncée dans les media comme la “découverte de gène homo” et plusieurs gens conclurent que la science avait maintenant “prouvé” que l’homosexualité était héréditaire. Rappelez-vous que cela était en 1993, sept ans avant que l’étude de Bailey et al sur les jumeaux australiens ait conclu qu’il n’y a aucun gène homo de trouver.

Comme il résulta plus tard, l’étude de Hamer et al était un autre faux et deux ans plus tard le même journal Science
rapporta que Hamer était sous l’investigation par “l’Office d’Intégrité de Recherche” dans le Département de Santé et Services Humaine d’avoir “rapporté sélectivement ses données” (RÉF.1 page 113).  Cependant, il n’y eut aucune fanfare dans le media public quand cela était rapporté.  Si beaucoup des gens encore aujourd’hui sont sous l’impression que le “gène homo” a été trouvé et que l’homosexualité est par conséquent héréditaire. Puisque ce mensonge est si fortement répandu, regardons un peu de près l’ouvrage de Hamer et al.

Hamer et son équipe avaient recruté un groupe de 76 hommes homosexuels d’un programme de traitement SIDA. Tous d’eux prétendaient d’avoir au moins un frère homosexuel et un fort modèle d’orientation homosexuelle parmi leurs oncles maternels mais pas parmi leurs oncles paternels. L’équipe de Hamer fut l’hypothèse que cela doit être reflété dans quelques gènes dans le chromosome X.  Comme vous savez probablement, un homme obtient son chromosome X d’un de deux chromosomes X de sa mère et son chromosome Y de son père. Puisque les mères n’étaient pas homosexuelles il était spéculé que il était seulement un de ses deux chromosomes X que portait le gène homo. Ainsi, dans une population générale, environ la moitié des enfants mâles résulteraient avec le chromosome X portant le gène homo et l’autre moitié non. Mais dans l’échantillon de 40 paires de frères homosexuels, non seulement la moitié d’eux (i.e. 20) mais un complet de 33 d’eux avaient un chromosome X qui avait une variation dans le gène q28 qui était atypique du modèle bandant normal. Puisque ce nombre (33) était beaucoup au-dessus le 50% prévu (aléatoire) ils assumaient que ce gène particulier portait l’orientation homosexuelle mâle. Cependant, il y avait encore 7 paires des hommes homosexuels sans ce “marquage” dans le gène.

Si cette découverte était vraie et honnête, et ainsi pouvait être reproduite dans des études subséquentes, la conclusion que pouvait être déduire était encore limitée à cela: Ce modèle chromosomique particulier est ni nécessaire
, ni suffisant de causer l’homosexualité. Il n’est pas nécessaire puisque 7 des 40 paires homosexuels n’avaient pas ce modèle. Et il n’était pas suffisante parce qu’une étude subséquente par l’équipe de Hamer (y compris des frères non homosexuels avec le même fond) montra que quelques-uns de ces frères hétérosexuels avaient le même marquage de gène dans q28. Un tel marquage et lien de gène est à peine une définition acceptable d’un “gène homo”. Mais (et encore une fois seulement si la recherche était honnête) il pouvait être argumenté qu’il se peut avoir quelque autre caractéristique associée avec ce marquage particulier de gène qui se lie à une autre caractéristique de la famille qui prédispose le individu d’être plus vulnérable à devenir un homosexuel. Par exemple, un individu avec ce marquage particulier de gène peut avoir une prédisposition génétique vers le comportement nouveauté-cherchant ou n’importe quel. Qui sait quoi cela pouvait être?

Comme il deviendrait évident bientôt, l’étude de Hamer et al était encore an autre exemple du jeu frauduleux avec le nombre.  Peu après la publication de Hamer et al dans Science, la même publication publia une réfutation par le chercheurs des Universités Yale Columbia et Louisiana State.  Ils écrirent parmi autre choses [RÉF.1 pages 111-112]:

Les résultats de l’étude ne sont pas consistants avec un modèle génétique.  ….Aucune des ces différences [entre l’homosexualité dans les oncles ou cousins maternels versus paternel] n’est statistiquement signifiant. …..Des petites tailles d’échantillon font ces données compatibles avec une rangée d’hypothèses génétiques et écologiques possibles …
.”

Un tenant de toute la science est que si un test ne peut pas être répété (reproduit) il ne satisfait pas le critère pour une ”trouver” ou “découverte”
.  Et des autres chercheurs ont tenté, sans succès, de reproduire l’étude de Hamer et al. Une étude majeure en 1999 utilisa un échantillon de 52 paires des enfants homos de mêmes parents. L’équipe (Rice, Anderson, Risch and Ebers) considèrent quatre marqueurs chromosomiques séparés dans la même région génétique mais ne trouvèrent aucune relation d’orientation homosexuelle. Dans le journal Science (284, avril 1999) dans la page 666 ils déclarent: Il n’est pas clair pourquoi nos résultats sont tellement en désaccord avec l’étude originale de Hamer. Parce que notre étude était plus large que cette de Hamer et al., nous certainement avions la pouvoir adéquate de détecter un défaut génétique si large qu’était rapporté dans cette étude. Cependant, nos données ne supportent pas la présence d’un gène de large effet influençant l’orientation sexuelle dans la position Xq28”. L’expression “Xq28” dénote la position de gène q28 dans le chromosome X. L’équipe de recherche avait dépensé beaucoup de temps et effort et ils étaient perplexes pourquoi leurs résultats étaient “si en désaccord avec l’étude de Hamer’”. Bon, comme déclaré ci-dessus, “l’Office de l’Intégrité de Recherche” - une branche du Département de Santé et Services Humaines – examina subséquemment Hamer pour ayant “rapporté sélectivement ses données”.  Encore un autre exemple de malhonnêteté intellectuelle!  Tout dans le but de favoriser l’agenda homosexuel comme recommandé plus tôt (1991) par Kirk et Madsen (voir l’introduction de Mythe 1).

Ensuite, un an plus tard à peu près (en mars 2000) arriva l’étude de Bailey-Dunne-Martin sur les jumeaux identiques en Australie (voyez ci-dessus) qu’en permanence discréditaient quelconque hypothèse et théorie sur la possibilité d’un “gène homo” et il semble d’avoir fini d’une façon conclusive la controverse scientifique additionnelle sur cette matière. Cela n’est pas à dire que le tissage et la politisation de cette question dans les media sont finis. Après tout, nous sommes ici en train de parler sur “la science de gène homo” (science drôle) et dans la société d’aujourd’hui, l’idée de “correctesse politique” prend précédent sur les faits scientifiques. Puisque le rapport frauduleux de Hamer est encore si largement propagé dans les media comme la vérité et que un lien génétique à l’homosexualité a été établi, j’ai pris un regard de plus près sur la recherche de Hamer.  Vous le trouverez dans ce link (No. 5; "Critique de la recherche de Hamer").  Si vous avez le temps et l’effort de creuser dans cette analyse vous allez découvrir cette “recherche drôle” de laquelle nous sommes en train de parler.

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6.  Bearman-Bruckner (2001)
Environ un an après que l’étude de Bailey-Dunne-Martin avait déjà nis à nu l’étude fausse de Bailey-Pillard, il y avait un autre groupe de recherche arrivant à la même conclusion.  Un équipe de recherche dirigé par Bearman d’Université Columbia et Bruckner d’Université Yale étudièrent pas moins que 5.552 paires d’enfants de même parents.  Dans leurs étude ”Jumeaux de sexe opposé et attraction de même sexe de la part d’adolescents”, publié en octobre 2001, ils examinèrent des théories et facteurs différentes sur quoi cause l’homosexualité (facteurs sociaux, hormonaux, génétiques et d’évolution).  Ils interviewèrent des jumeaux monozygotiques et dizygotiques, des enfants de mêmes parents complèts, des enfants de mêmes parents à demi et des enfants de mêmes parents sans aucune relation de lignée.  Ils examinèrent aussi des jumeaux dizygotiques du même sexe et du sexe opposé.  Leur résultat est une évidence virtuellement conclusive qu’il n’a y aucune influence génétique dans le développement de l’homosexualité.  Pour les jumeaux monozygotiques (identiques) parmi les hommes le nombre CP (la Concordance Probatoire) était 7.7 %, ce qui est complètement en ligne avec le 11% CP dans l’étude Bailey-Dunne-Martin et très loin du 52% dans l’étude fausse de 1991 par Bailey et Pillard.  Si le nombre est 11% ou 7% cela est une évidence également puissante qu’il n’y a aucun facteur génétique discernable en fonctionnement.

Et Bearman et Bruckner (similaire à Bailey-Dunne-Martin dans leur rapport) écrivirent comme il suit sur le rapport Bailey-Pillard:
Une concordance substantiellement plus haute pour l’orientation homosexuelle a été rapportée dans la recherche précédente.  Nous croyons que l’ouvrage précédent est largement incorrect comme un résultat de dépendance des échantillons non représentatives des, par exemple, lecteurs des publications homos, et de dépendance d’évidence indirecte.
”  N’est-ce pas cela une façon polie de discréditer l’étude Bailey-Pillard?  Ils appellent la science drôle Bailey-Pillard “la recherche précédente”. Pour des informations additionnelles sur le rapport Bearman-Bruckner voyez (réf.25)

Mais incroyablement, malgré les discrédits nombreux de l’étude Bailey-Pillard, l’homolobby continue de se référer à elle.  Et les media principales n’ont pas une clé.

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7.  Simon LeVay (1991)

Le fond
La même année que l’étude fausse de Bailey-Pillard était publiée, une autre étude par Simon LeVay obtint une grande publicité (Simon LeVay, Une différence dans la structure hypothalamique entre les hommes hétérosexuels et homosexuels
, Science 253 [1991]; 1034-37). Pour un sommaire de l’étude par Simon LeVay voyez réf.26 . Pour une discussion de son rapport voyez RÉF.5; pages 67-70.

LeVay est encore un autre chercheur homosexuel. Il était un neurobiologiste dans l’Institut Salk en Californie quand il publia pour la première fois les découvertes de sa recherche. Ses découvertes en 1991 le catapultèrent pendant la nuit à une grande célébrité. LeVay semble être un scientifique très sympathique et bien-qualifié malgré que des autres chercheurs ont mis en doute ses lettres de créance. Par exemple Joan Rougharden, professeur dans Stanford Université, écrit:
“LeVay est un académique mineur qui n’arriva d’occupation nulle part et la recherche passée duquel n’a pas été prouvée répétable
. Néanmoins, il a reconnaissance de nom dans les cercles académiques comme un auteur de popularisations commerciales de science bizzare. LeVay a pu lever cette visibilité douteuse dans une statut comme un expert sérieux en questions homos dedans l’université”. Rougharden opposa aussi l’invitation par LeVay des représentatives de la NAMBLA (l’Association Nord Amécaine de l’Amour Homme-Garçon; l’organisation principale qui promeut la pédophilie aux États-Unis) de venir et parler dans l’Université Stanford.

LeVay lui-même, était initialement très prudent sur les conclusions
qu’ils doivent être tiré de cette recherche. Des autres cependant – spécialement les mass media corrects politiquement – annonçaient sa découverte comme une preuve que le lien était maintenant établi entre l’homosexualité et la composition génétique ou hormonale en naissance. Nous rappelons ce que Scott Hersherger déclara dans un symposium de recherche (voyez ci-dessus):
"Les votes de l’opinion public, plus la recherche empirique, nous disent toujours qu’il existe une corrélation positive entre les convictions des gens en l’immutabilité d’un trait et leur acceptation de ce trait. Ainsi, plus qu’une personne croit que l’homosexualité ou l’orientation sexuelle est biologique, plus il ou elle sentira plus positivement sur cela."


Partialité
innée?
Subséquent à son rapport et célébrité en 1991, LeVay semble d’être devenu moins humble sur l’importance de ses découvertes. Il mut d’être un chercheur modeste et pensif en devenir quelque chose d’un activiste homosexuel. En 1992 il finit sa recherche en Salk et fonda l’Institut de l’Éducation Homo & Lesbienne West Hollywood.

LeVay a donné aussi les raisons personnelles et émotionnelles pourquoi il commença l’étude premièrement. Dans un interview il lit:

" ‘J’ai su que j’étais homo depuis j’avait environ 13 ans,’ il dit, sa face tannée en sautant dans une grimace. ‘Comme un homme homo, j’avais la motivation de faire cet ouvrage. Si je ne le ferais pas, aucun autre n’était pas pressé de le faire. Et comme un scientifique, je savais qu’elle était une recherche pour laquelle j’étais qualifié à faire……… Ce que changea finalement la direction de sa recherche, quand même, était une crise profondément personnelle. En 1990 le partenaire de LeVay, Richard, un médecin de service d’urgence, mourût après une lutte de quatre ans avec le SIDA. ’Richard et moi avions passé 21 ans ensemble,’ il se rappelle, sa voix encore attrapant à la mémoire. C’était pendant que je soignerais pour lui que j’ai décidé que je voulais faire quelque chose différente avec ma vie. Vous comprenez que la vie est courte et vous devez penser sur ce qui est important pour vous et qui n’est pas. J’avais un besoin émotionnel de faire quelque chose plus personnelle, quelque chose liée avec ma identité homo’ “

Et dans un interview avec le Newsweek LeVay déclara que, après la mort de son amant, il était déterminé de trouver une cause génétique pour l’homosexualité, ou il abandonnerait la science entièrement. En outre, il admit, il espéra d’éduquer la société sur l’homosexualité, affectant les attitudes légales et religieuses envers elle. Cela n’est pas en soi-même une preuve d’une quelque malhonnêteté intentionnelle. Mais sa recherche peut à peine dire d’avoir être impartiale. Mais la question persiste: est-ce qu'il quitta sa position comme scientifique dans l’Institut Salk parce qu’il ne put pas “trouver une cause génétique pour l’homosexualité” ?

Dans une autre interview encore il se réfère aux études maintenant infâmes et fausses de Bailey-Pillard et Hamer et al (voyez les chapitres 6 et 8 ci-dessus). C’est cela comme il lit dans le numéro mars ’94 de Discover (titre: “Sexe et le Cerveau”) [soulignant mon emphase]:

“En fait, LeVay a soupçonné depuis longtemps que l’homosexualité marche dans les familles et a un component héréditaire -- un soupçon renforcé par les études récentes de jumeaux par le psychologue Michael Bailey de l’Université Nord Occidentale et le psychiatre Richard Pillard de l’Université de Boston. Les études montrent que les jumeaux identiques -- qui partage les mêmes gènes – ont environ deux fois plus possibilité d’être aussi bien d’homos que de lesbiennes que les jumeaux fraternels, qui partagent la moitié de leurs gènes seulement. Il est aussi cinq fois plus possible d’être homos tous les deux qui sont les frères adoptés qui partagent une éducation mais no gènes. ‘Cela suggère clairement que la génétique explique une fraction substantielle de la causation totale," LeVay dit. Comme une évidence anecdotique, il expose une photo instantané de la famille de lui-même et ses quatre frères: "Deux et une moitié de nous sont homos," il dit. (Un frère est bisexuel.) "Vous savez, mon père n’a jamais été confortable que je suis homo. Il ne l’approuve pas. Puisque tous les gamins de son second mariage sont normaux, il insiste que tout cela est hérité du coté de la famille de notre mère."


L’interview continue:
“Le père désapprouvant de LeVay peut néanmoins être justifié. Le juillet dernier, LeVay souligne, l’équipe de Dean Hamer dans les Instituts Nationaux de la Santé trouvèrent une région dans le chromosome X des frères homos qui se peut résulter de porter un gène ou gènes homos; le chromosome X est, après tout, toujours la contribution génétique de la mère à ses fils. Seulement comment un gène dans cette zone pouvait faire quelqu’un un homo reste la supposition de n’importe qui: peut-être il influence comment les structures liées au sexe sont formées dans le hypothalamus. Quand il arrive à l’attraction et comportement sexuel, LeVay soupçonne, les humains sont formés largement in utero. ‘Quelque chose différente est en train de se passer quand le cerveau homo s’organise dans la vie fœtale,’ il dit. ‘Si je met mon argent quelque part, c’est dans l’interaction des hormones de sexe et le cerveau. Il se peut avoir des différences génétiques dans ce que comment les récepteurs de cellules du cerveau de fœtus répondent aux hormones de sexe tels que testostérone.’ "

C’est toujours désagréable de mettre en doute l’honnêteté et intégrité d’un chercheur homosexuel mais comme nous avons déjà vu auparavant (e.g. l’ouvrage de Bailey-Pillard, Kallman, Hamer et al) cela n’est pas nécessaire. Spécialement maintenant dans le cas de LeVay étant devenu quelque chose d’un activiste. Le premier critère pour le trouver ou la découverte d’un un nouveau scientifique est qu’il peut être reproduit (répété). Sous le gros titre “Gènes homos revisités” le Magazine Américain Scientifique prestigieux déclara dans le numéro du novembre 1995 (page 26) [soulignant mon emphase]:
“Dans les années récentes, deux études publiées dans Science semblent de fournir évidence dramatique que l’homosexualité mâle a des supports biologiques. En 1991 Simon LeVay, à cette époque-là dans l’Institut Salk pour des Études Biologiques à San Diego, rapporta de trouver différences subtiles mais signifiantes entre les cerveaux des hommes homosexuels et hétérosexuels. Deux ans après, un groupe dirigé par Dean H. Hamer de l’Institut National de Cancer lia l’homosexualité mâle à un gène dans le chromosome X, qui est hérité exclusivement de la mère.
Toutes les deux annonces firent des gros titres partout dans le monde. LeVay et Hamer apparurent dans émissions télévisées et écrivirent des livres. Ils furent aussi co-auteurs d’un article publié dans ce magazine en mai 1994. Mais la découverte de LeVay doit encore être répliquer complètement par un autre chercheur. Quant à Hamer, une étude a contredit ses résultats. Plus disturbant, il a été accusé avec d’impropriétés de recherche et est maintenant sous l’investigation par l’Office Fédérale d’Intégrité de Recherche.”

Revue de l’étude
Néanmoins, la communauté homosexuelle et les mass media principaux continuent de citer de la recherche de LeVay. Ainsi, pour cette raison regardons-le:

La recherche et les hypothèses de LeVay peuvent être considérées d’être dedans le domaine de "l’hypothèse hormonale des adultes" (ou peut-être l’hypothèse hormonale prénatale) qui – comme déclaré ci-dessus – est une des trois branches des “hypothèses biologiques” comme opposés aux “hypothèses écologiques”. [Les deux autres branches des hypothèses biologiques sont les hypothèses génétiques (directe et indirecte) et hypothèses hormonales prénatales (voir Chapitre 8 ci-dessous)].

LeVay, étudia un domaine du hypothalamus dans le cerveau appelé le Nucleus Interstitiel du Hypothalamus Antérieur ou NIHA en bref. Il y quatre tels domaines (INAH1-4). Il déclara que dans sa recherche il avait trouvé que l’INAH3 était plus petit parmi les hommes homosexuels et parmi les femmes que parmi les hommes hétérosexuels. Il examina les cerveaux de 35 hommes et 6 femmes décédées. Il classifia comme homosexuels 19 des hommes puisque un médecin avait fait une telle note dans la carte de décédés. Il classifia aussi les autres 16 hommes comme hétérosexuels parce qu’ils manquèrent de telle note dans leurs cartes, même que 6 des les 16 avaient décédés du SIDA exactement comme tous les 19 avec une note dans leurs cartes. Ainsi, sa classification de son échantillon tout de suite soulève quelques questions.

Mais assumons néanmoins que les découvertes de Simon LeVay (sur la taille moyenne plus petite de INAH3 dans le cerveau des hommes homosexuels décédés) étaient vraies. Quelles conclusions peuvent être tirées de cette découverte? Il y a naturellement une grande différence entre les découvertes et les conclusions.


Conclusions de l’étude
Les conclusions préférées par l’homolobby – et volontiers acceptées par un media crédule et politiquement correct – sont double. Tout d’abord que l’orientation sexuelle d’une personne est vraiment liée à la taille de l’INAH3 et, deuxièmement, que la différence en taille existait déjà en naissance et non seulement parmi les hommes homosexuels décédés. Juste ici nous sommes en train de traiter des suppositions hypothétiques pas encore prouvées. Il y a trois questions sérieuses sur ces conclusions hypothétiques, la première des lesquelles contredit complètement les conclusions hypothétiques.

1. L’hypothèse marche au contraire des découvertes par tous les deux, Bailey-Dunne-Martin (voir chapitre 4 ci-dessus) et Bearman-Bruckner (voir chapitre 6 ci-dessus). Considérez que l’étude de Bailey-Dunne-Martin était conduite exclusivement dans un grand nombre des jumeaux monozygotiques (i.e. identiques). Tels jumeaux, si quelqu’un, doivent partager une caractéristique très similaire soit génétique soit hormonale pendant la grossesse. Cependant, les équipes de recherche – tous les deux réfutant l’étude maintenant infâme de Bailey–Pillard – conclurent qu’il n’y avait aucune corrélation statistiquement signifiante à l’homosexualité parmi des jumeaux identiques.

2. Nous savons que le cerveau humain subit des changements signifiants entre la naissance et le décès. Par exemple, dans une étude par l’INS (l’Institut National de Santé) il était constaté que pour les gens qui commencèrent de lire Braille après être devenus aveugle, la part du cerveau participant dans le contrôle du “doigt lisant” grandit. Similairement, il est bien connu que ces garçons avec Désordre d’Identité de Genre (DIG; voyez ci-dessus) et qui jouent principalement avec les filles, développent souvent une voix féminine et aussi d’autres traits féminins. Autrement dit: Jusqu’à un certain degré le développement du cerveau est influencé par comment vous vous comportez et l’identité avec vous associez pendant le temps que vous grandissez.

3. La différence en taille de l’INAH3 pouvait être liés à quelque chose que peut augmenter la possibilité (la propension) de devenir homosexuel sans actuellement prédestinant le résultat. Par exemple, les garçons peuvent être nés avec des gènes qui ont la tendance de les faire ou mince ou musculaire. Et un père peut se lier mieux à un fils qui est musculaire et par conséquent bon dans les sports populaires (hockey sur glace, football etc.) qu’il aime lui-même, qu’à un garçon qui est mince et par conséquent bon dans, par exemple, ballet ou patinage de figure. C’est comme quelqu’un étant né avec se gènes qui le feront d’haute taille. Un tel garçon a une plus grande possibilité de succès en basket-ball qu’un garçon de courte taille. Mais le garçon d’haute taille ne peut pas être bon en basket-ball avant qu’il touche un basket-ball. Également, un garçon peut devenir plus prédisposé à l’homosexualité grâce à l’environnement dans lequel il grandit (model de rôle mâle absent, recrutement par RFSL etc.).

(C’est bien connu que dedans le patinage de figure professionnel mâle, le nombre des homosexuels dépasse beaucoup leur proportion dans la population générale. Certain ont l’estimé environ 50% de tous patineurs de figure mâles. Par conséquent, quand SIDA se déclancha au début, il y avait une réduction dévastant en patineurs de figure mâles.
Ainsi, cela est qu’un bon père fait si son fils montre des talents et d’intérêt dans ce domaine: Lui-même, pas la mère du fils, emmène son fils à les exercices du patinage de figure et est là-bas où d’enraciner pour lui dans les compétitions. Et il le laisse être avec les autres garçons pour qu’il devienne “un des garçons”. Le garçon est alors possible de se lier à son père, qui de sa part “homo-protégera” virtuellement son fils en grandissant.)

Par ailleurs, il faut notez que même si les moyennes
de l’INAH3 dans les hommes homosexuels et hétérosexuels étaient différentes, parmi les résultats il y avait des instances ou l’INAH3 dans les hommes homosexuels était actuellement plus grand (pas plus petit) que la taille moyenne des hommes hétérosexuels. Dans un des exemples l’INAH3 d’un mâle homosexuel était plus grand que tous excepté un de ces des 16 "mâles hétérosexuels" dans l’étude. Cela marche à contraire de l’hypothèse de LeVay.

En formulation scientifique, cela est exprimé dans le numéro de mars 1994 du Discover comme il suit [soulignant mon emphase]:
“Anne Fausto-Sterling, une généticiste de développement dans l’Université Brown et une des critiques académiques principaux de LeVay, était parmi ceux qui minent en doute la façon avec laquelle il interprétait ses données. "Il prétendit une grande variation en taille de ces noyaux du cerveau dans les hommes homos et normaux," elle dit, "mais il y avait encore un grand chevauchement entre le normal et l’homo. Ce qu’il actuellement trouva était une différence de distribution, avec peu de noyaux plus grands-que-la moyenne dans une extrémité, un peu de noyaux plus petits-que-la moyenne dans l’autre, et la majorité large tombant au milieu. Même si nous pouvions dire que la plupart des gens dans une extrémité étaient normaux, et la plupart des autres dans l’autre extrémité étaient homos, cela nous dit peu sur la majorité au milieu où les rangées chevauchent. Si LeVay choisirait une taille de noyau au milieu, il ne pouvait pas dire si c’était hétérosexuel ou homosexuel."


Des synopses sélectées de critiques de l’étude de LeVay peuvent être trouvées dans ref. 26 après le sommaire par LeVay de ses découvertes.

L’interprétation erronée délibéré par les mass-media de la recherche de LeVay est un autre exemple encore de comment la promotion de l’homosexualité renonce n’importe quelle demande pour l’objectivité et honnêteté. Ils sont en train de chercher une aiguille dans un océan mais ne la trouveront jamais. Je recommande fortement le chapitre 4 dans RÉF.1 par Jeffrey Satinover (“Trouver une aiguille dans l’océan”).

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8.  Les hypothèses hormonales prénatales
Peut-il l’environnement du fétus dans l’utérus de la mère influencer sur le bébé qui n’est pas encore né dans telle façon que – bien que “hétérosexuel” dans conception – le bébé devienne affecté pendant la grossesse dans telle façon qu’à la naissance le bébé soit prédestiné pour l’homosexualité? Il y a eu beaucoup de spéculation dans ce domaine. La littérature est pleine d’instances où des découvertes prétendues par quelques chercheurs ne purent pas être confirmées ou reproduites par d’autres chercheurs.  Quelques fois les découvertes peuvent être ni vérifiées ni refusées puisque les conditions dans la recherche originale ne peuvent pas se reproduites.

Par exemple, dans une étude de Dorner (RÉF.5; page 66) sur l’Allemagne de l’après guerre, il était constaté qu’il y avait un peu plus d’homosexuels mâles qu’attendu. Il était suggéré que cela pouvait se passer grâce à des “fluctuations hormonales” exceptionnelles dans l’utérus de leurs mères à cause des circonstances horrifiques pendant la fin de seconde guerre mondiale. Mais un tel phénomène pouvait juste aussi facilement être causé du fait qu’après la guerre si beaucoup de garçons grandirent sans un père dans leur vie et par conséquent souffrirent de la déficience d’identité de genre (une manifestation psychologique/écologique). Notez la spéculation pure dans telles études!  Il n’y a aucune raison pourquoi le stress dans l’utérus de la mère causerait d’homosexualité.  Cela est comme dire que si les garçons allemands dans l’Allemagne de l’après guerre jouaient plus et mieux basket-ball qu’avant, le stress dans l’utérus de leurs mères causa une meilleure capacité de basket-ball dans la progéniture.

Quelques fois cela est complètement comique.  Une autre étude dans ce domaine de la "hypothèse hormonale prénatale" était récemment publiée par Anthony Bogaert de l’Université Brock en Canada.  Il suggéra qu’un des sept hommes homosexuels (parlant statistiquement) était devenu homosexuel parce que la mère avait eu auparavant des autres garçons.  Et pour chacun frère biologique plus âgé la probabilité pour d’homosexualité pour le garçon plus jeune est augmenté peut-être avec un tiers.  Le résultat pour le groupe avec des “frères biologiques plus âgés” avait un “bêta-valeur” statistique avec une limite inférieure d’un 0,03 chétif (si la valeur avait été zéro ou négative il n’y aurait été n’importe quelle signifiance statistique).  Cependant, il est remarquable comment l’étude était trompetée et écrite par les media principales.  Dans une lettre de support par sympathisants homos, ils citèrent l’étude comme un support que ”environ une million d’américains ou sont homosexuels aujourd’hui ou grandiront de devenir d’homosexuels parce que leur mère avait de garçons avant qu’eux-mêmes étaient nés.  À la fois, rien n’est dit sur le fait qu’un père avec des fils plus âgés peut avoir une plus grande tendance d’oublier sur le développement d’identité sexuelle de son fils plus jeune.  Naturellement, c’est plus difficile pour un père avec beaucoup d’enfants.  

Par ailleurs, je lus récemment une revue de la nouvelle étude de Bogaert dans Los Angeles Times y compris la déclaration suivante: “Les jumeaux identiques partagent la même DNA et si un des jumeaux est homosexuel l’autre jumeau est aussi homosexuel dans 52 pourcent des tous les cas d’après une étude de 1991.  Parmi les jumeaux non identiques la fréquence descend à 22 pourcent et pour les autres frères à 9 pourcent”.  Ces nombres sont naturellement de l’étude de Bailey-Pillard de 1991 (voir point 3 ci-dessus), une étude qui a été si complètement discréditée par d’études subséquentes (voir points 4 et 6 ci-dessus).  Je juste ne peux pas croire qu’une telle désinformation dans les mass media principales n’est pas intentionnelle.  C’est un acte délibéré de négliger les faits afin d’être politiquement correct. 

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9. La tendance de la “Recherche” homosexuelle récente
Depuis quelques années en arrière, beaucoup de la soi-disant ”recherche” sur l’homosexualité a été concentré sur le domaine de cela si les parents homosexuels ou hétérosexuels sont d’être préférés dans la sphère d’adoption des enfants orphelins.  Quelle est réellement la meilleure alternative pour les enfants? Si beaucoup de cette recherche est poussé par l’agenda politique de l’homolobby pour être déclarée également convenable comme parents.  Impliqué dans cette investigation est naturellement le fait qu’il y a une plus haute fréquence de la pédophilie parmi des hommes homosexuels (voir Mythe 1 point 4 ci-dessus). 

RÉF.2 – pages 95-120 (Est-ce que les parents homosexuels présentent de risques aux enfants?) contient une discussion et mise à nu extensive de l’agenda pro-homosexuel d’être parents.

RÉF.6 - "Aucune base: Ce que les études ne nous disent pas sur être parents du même sexe" est une analyse et réfutation systématique (rapport après rapport) de 49 rapports différents de recherche et leurs défauts.  Les auteurs de ce livre sont Robert Lerner et Althea Nagai, tous les deux avec un doctorat par l’Université de Chicago.  Pour tous les 49 rapports ils révélèrent des défauts dans un ou plusieurs des ces domaines:

1. Hypothèses et projets de recherche pas clairs
2. Groupes de comparaison manquants ou inadéquats
3. Mesurages construits par soi-même, douteux et invalides
4. Échantillons pas au hasard, y compris participants qui recrutent d’autres participants
5. Échantillons trop petits de produire des résultats signifiants
6. Analyse statistique manquante ou inadéquate

Le problème principal avec les études de cette nature est que d’être parents homosexuels est un nouveau phénomène.  Ainsi, les tailles adéquates d’échantillon ne sont pas disponibles.  Et l’intervalle de temps d’être parents par parents homosexuels est encore trop court, ainsi des statistiques fiables ne sont pas encore disponibles.

Mais plus important que les études elles-mêmes est comment les ”découvertes” sont présentées dans les mass media. Parce que la présentation dans les mass media est ce qui gouverne l’opinion publique.  Tellement souvent l’auteur d’un article dans un journal - ou le journaliste faisant une interview avec un “expert” - impose sa propre opinion par le ton dans son article ou sa sélection des gens d’être interviewés.  Par citations sélectées soigneusement et la manière avec laquelle le contenu dans un rapport de recherche est présenté, le journaliste ”objective” contribue considérablement à la formation de l’opinion publique dans – pour les petits enfants – ce domaine si extrêmement important.

Lerner et Nagai (les auteurs du livre) examinèrent des articles des journaux sur les parents homosexuels entre les années 1979 et 1999.  Ils constatèrent qu’une grande majorité des articles généralisaient en combattant que toutes les études scientifiques conduites jusqu’ici démontrent que les enfants élevés par des parents homosexuels ne sont pas différents des enfants avec des parents hétérosexuels.  Et cela a été déclaré souvent sans référence à un rapport particulier.  La partialité/tissage positive que ces rapports endommagés reçoivent dans les media a diminué beaucoup l’opposition publique vers les parents homosexuels des enfants orphelins.  La tragédie énorme pour ces enfants – maintes fois déjà avec des blessures émotionnelles – ne peut pas être exagérée. 

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